La rencontre africaine des droits de l’homme (RADDHO) est préoccupée par la situation politique que vit en ce moment la Côte d’Ivoire après la dissolution du gouvernement et la commission des élections.
Dans un communiqué intitulé «qui a peur des élections» qui nous est parvenu, Alioune Tine et compagnie expriment leurs vives préoccupations vis-à-vis du 7e report de l’élection présidentielle en Cote d’Ivoire. Ils recommandent à toute la classe politique ivoirienne en concertation avec le Médiateur du Faso et la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) de fixer une date et à s’y tenir quoi qu’il arrive.
Pour eux, «chaque report affaiblit et délégitime les institutions et notamment la clé de voûte des institutions, la Présidence de la République dont la légitimité est en question depuis plus de cinq (5) ans».
La RADDHO demande à la classe politique et à Gbagbo d’atténuer la peur et les fortes appréhensions autour de l’élection présidentielle ivoirienne, des sentiments alimentés par la perspective pour les uns de perdre et pour les autres de ne plus retrouver le pouvoir.
Pour la RADDHO, cette décision de dissoudre le gouvernement et la CEI, rappelle à bien des égards des décisions de la même nature au Niger et au Sénégal où les Présidents de Commission Electorale ont été déstabilisés au cours du processus électoral.
Elle rappelle, par ailleurs, qu’au Sénégal Moustapha Touré a été acculé à la démission, en Cote d’Ivoire la résistance de Mambé Beugré Robert a entrainé la chute du Gouvernement et de la CEI, quant au Niger ce n’est pas la première fois qu’on dissout la CENI, en 1996, Mainasara Baré l’avait fait.
Dans un communiqué intitulé «qui a peur des élections» qui nous est parvenu, Alioune Tine et compagnie expriment leurs vives préoccupations vis-à-vis du 7e report de l’élection présidentielle en Cote d’Ivoire. Ils recommandent à toute la classe politique ivoirienne en concertation avec le Médiateur du Faso et la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) de fixer une date et à s’y tenir quoi qu’il arrive.
Pour eux, «chaque report affaiblit et délégitime les institutions et notamment la clé de voûte des institutions, la Présidence de la République dont la légitimité est en question depuis plus de cinq (5) ans».
La RADDHO demande à la classe politique et à Gbagbo d’atténuer la peur et les fortes appréhensions autour de l’élection présidentielle ivoirienne, des sentiments alimentés par la perspective pour les uns de perdre et pour les autres de ne plus retrouver le pouvoir.
Pour la RADDHO, cette décision de dissoudre le gouvernement et la CEI, rappelle à bien des égards des décisions de la même nature au Niger et au Sénégal où les Présidents de Commission Electorale ont été déstabilisés au cours du processus électoral.
Elle rappelle, par ailleurs, qu’au Sénégal Moustapha Touré a été acculé à la démission, en Cote d’Ivoire la résistance de Mambé Beugré Robert a entrainé la chute du Gouvernement et de la CEI, quant au Niger ce n’est pas la première fois qu’on dissout la CENI, en 1996, Mainasara Baré l’avait fait.
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