Il paraît que son excellence Macky SALL a publié une compilation de discours lus par lui et écrits par d'autres. Discours qu'on trouve d'ailleurs d'un clic sur le site du gouvernement du Sénégal ou dans google. Triste!
Et hier donc, lors de la cérémonie de lancement de ce machin, il s'est encore livré à une envolée de déclarations aussi maladroites qu'insipides dont seul il détient le secret.
Je passe sur ses élucubrations sur la reddition des comptes et sa traque des biens mal acquis. Les Sénégalais ont décelé depuis longtemps le caractère démagogique, vicieux, cupide et politicien de ce discours aux antipodes des faits.
Mais le président-candidat déclare: "on dit que le Président ne veut pas d'adversaires. Mais, je n'ai pas peur d'adversaires. Je me suis soumis à la sanction des sénégalais et tous les jours on juge mon action. Je n'ai pas peur d'être jugé. Je peux faire des erreurs comme tout humain, mais il faut que ce débat soit posé sur l'état de la nation"
C'est psychologiquement révélateur de retrouver trois mots importants dans cette déclaration défensive: peur, juge, erreur.
Au candidat Macky SALL, ancien lion dormant et ancien lutteur watiatia, je réponds que seuls les peureux aiment à claironner partout qu'ils n'ont pas peur. Les actes que vous posez valent plus que vos discours sans foi, et ils révèlent que vous avez une peur bleue (pardon marron) de votre opposition que vous essayez de liquider, depuis 6 ans, par toutes sortes de procédés non conventionnels.
Au Président Macky SALL je rétorque que votre manœuvre de banalisation ne passera pas. Vous n'avez pas commis des erreurs, mais des fautes de gestion et de mal gouvernance graves, et sciemment.
Sous ce chapitre, soyez rassuré que le jugement de votre action ne se limitera pas à la sanction populaire.
À bon président entendeur…!
PS: juste rappeler au Président Macky Sall que la publication des conventions n'a jamais été laissée à sa discrétion. L’article 17 du code pétrolier dispose: «Ladite convention est approuvée par le Président de la République et publiée au Journal Officiel et fait l’objet d’un enregistrement dans les conditions prévues par la loi".
Il vient d'avouer qu'il faisait de la rétention sur ces contrats en violation flagrante de la loi et de la constitution
Et hier donc, lors de la cérémonie de lancement de ce machin, il s'est encore livré à une envolée de déclarations aussi maladroites qu'insipides dont seul il détient le secret.
Je passe sur ses élucubrations sur la reddition des comptes et sa traque des biens mal acquis. Les Sénégalais ont décelé depuis longtemps le caractère démagogique, vicieux, cupide et politicien de ce discours aux antipodes des faits.
Mais le président-candidat déclare: "on dit que le Président ne veut pas d'adversaires. Mais, je n'ai pas peur d'adversaires. Je me suis soumis à la sanction des sénégalais et tous les jours on juge mon action. Je n'ai pas peur d'être jugé. Je peux faire des erreurs comme tout humain, mais il faut que ce débat soit posé sur l'état de la nation"
C'est psychologiquement révélateur de retrouver trois mots importants dans cette déclaration défensive: peur, juge, erreur.
Au candidat Macky SALL, ancien lion dormant et ancien lutteur watiatia, je réponds que seuls les peureux aiment à claironner partout qu'ils n'ont pas peur. Les actes que vous posez valent plus que vos discours sans foi, et ils révèlent que vous avez une peur bleue (pardon marron) de votre opposition que vous essayez de liquider, depuis 6 ans, par toutes sortes de procédés non conventionnels.
Au Président Macky SALL je rétorque que votre manœuvre de banalisation ne passera pas. Vous n'avez pas commis des erreurs, mais des fautes de gestion et de mal gouvernance graves, et sciemment.
Sous ce chapitre, soyez rassuré que le jugement de votre action ne se limitera pas à la sanction populaire.
À bon président entendeur…!
PS: juste rappeler au Président Macky Sall que la publication des conventions n'a jamais été laissée à sa discrétion. L’article 17 du code pétrolier dispose: «Ladite convention est approuvée par le Président de la République et publiée au Journal Officiel et fait l’objet d’un enregistrement dans les conditions prévues par la loi".
Il vient d'avouer qu'il faisait de la rétention sur ces contrats en violation flagrante de la loi et de la constitution
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