Lors d’une visite au Tchad d’une semaine, dont trois jours dans les camps d’Adré, Jan Egeland, le secrétaire général de l'organisation Norwegian Refugee Council, a pu se confronter à la réalité des réfugiés soudanais. Ceux-ci ont traversé la frontière pour fuir les violences au Soudan, dont des actes de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité commis par les belligérants, en particulier au Darfour. Les Forces de soutien rapide (FSR) du général « Hemedti » y ciblent les minorités sur des bases ethniques.
« Chaque personne là-bas a d'horribles histoires de violences et d'abus à raconter, de nettoyage ethnique au Darfour, parce qu'ils appartiennent à la tribu massalite et que les milices armées veulent s'en débarrasser, raconte-t-il.
Face à cette réalité, Jan Egeland appelle à plus de solidarité occidentale, « car c'est la pire crise humanitaire dans le monde, et il nous faut un niveau d'intérêt comme pour l'Ukraine ou les atrocités en cours à Gaza et au Moyen Orient ».
« Chaque personne là-bas a d'horribles histoires de violences et d'abus à raconter, de nettoyage ethnique au Darfour, parce qu'ils appartiennent à la tribu massalite et que les milices armées veulent s'en débarrasser, raconte-t-il.
Face à cette réalité, Jan Egeland appelle à plus de solidarité occidentale, « car c'est la pire crise humanitaire dans le monde, et il nous faut un niveau d'intérêt comme pour l'Ukraine ou les atrocités en cours à Gaza et au Moyen Orient ».
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