Les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont fait part de leur "grande préoccupation" après le coup d'Etat militaire au Soudan, fin octobre.
La violence n'a "pas sa place" au Soudan. L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, deux pays considérés comme susceptibles d'avoir une influence sur les militaires soudanais, se sont joints mercredi 3 novembre aux Etats-Unis et au Royaume-Uni pour un appel commun à la "restauration immédiate" du gouvernement civil renversé par un coup d'Etat militaire fin octobre.
"Nous appelons à la restauration immédiate et totale du gouvernement de transition dirigé par des civils", ont affirmé ces quatre pays dans une déclaration conjointe, assurant "partager la grande préoccupation de la communauté internationale"."Nous encourageons la libération de tous ceux qui ont été arrêtés en lien avec les événements récents ainsi que la levée de l'état d'urgence", ajoutent-ils.
La semaine dernière, un haut responsable américain avait expliqué que Washington était en contact avec les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite mais aussi l'Egypte pour qu'ils fassent davantage pression sur les généraux soudanais. Le Caire, accusé par certains observateurs de soutenir les militaires putschistes, n'a pas signé la déclaration commune de mercredi.
Source : Franceinfo
La violence n'a "pas sa place" au Soudan. L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, deux pays considérés comme susceptibles d'avoir une influence sur les militaires soudanais, se sont joints mercredi 3 novembre aux Etats-Unis et au Royaume-Uni pour un appel commun à la "restauration immédiate" du gouvernement civil renversé par un coup d'Etat militaire fin octobre.
"Nous appelons à la restauration immédiate et totale du gouvernement de transition dirigé par des civils", ont affirmé ces quatre pays dans une déclaration conjointe, assurant "partager la grande préoccupation de la communauté internationale"."Nous encourageons la libération de tous ceux qui ont été arrêtés en lien avec les événements récents ainsi que la levée de l'état d'urgence", ajoutent-ils.
La semaine dernière, un haut responsable américain avait expliqué que Washington était en contact avec les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite mais aussi l'Egypte pour qu'ils fassent davantage pression sur les généraux soudanais. Le Caire, accusé par certains observateurs de soutenir les militaires putschistes, n'a pas signé la déclaration commune de mercredi.
Source : Franceinfo
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