Pour la première fois depuis le début de la guerre au Soudan il y a plus d'un an et demi, le groupe d'experts du Conseil de sécurité des Nations unies s'est déplacé à Port-Soudan. Une visite de trois jours qui « vise à examiner la situation sur le terrain » explique l'agence de presse officielle Souna. Les experts devraient rencontrer les instances nationales chargées de l'application de la décision 1591 de 2005 de l'ONU relative à la situation au Darfour.
La guerre au Soudan oppose les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) dirigées par le général Mohamad Hamdane Daglo dit Hemedti, à l'armée régulière dirigée par Abdel Fattah al-Burhan. Le Conseil souverain soudanais présidé de facto par le général al-Burhan a affirmé que toutes les facilités nécessaires seront fournies au groupe d'experts pour qu’il mène à bien sa mission.
Le groupe d'experts a commencé son travail en rencontrant les membres de la Coordination nationale soudanaise chargée de suivre l'application de la décision 1591 de l'Onu. Cette coordination dépend de la haute Commission de suivi de l'application de cette décision dirigée par le général Ibrahim Jaber.
Selon un communiqué du Conseil souverain, les membres de la coordination ont mis le groupe d'experts au courant des crimes et des exactions étendus commises par les forces de soutien rapide (FSR) envers les civils. Et cela, dans les différents États du Darfour comme ailleurs au Soudan.
La résolution 1591 avait placé des personnes et des entités non gouvernementales au Darfour, comme les Janjawid, sous embargo sur les armes. Cet embargo comprend l’assistance ou les formations militaires que des pays tiers pourraient fournir aux combattants du Darfour.
Un Comité de 15 membres du Conseil de sécurité est chargé de suivre l'application de cette décision
Vendredi dernier, le 8 novembre, le Conseil de sécurité de l'ONU a approuvé, l’ajout à la liste des sanctions propres à la résolution 1591, de deux responsables militaires des Forces de soutien rapide. Il s'agit de deux chefs de division au Darfour : Abdel Rahman Juma Barkalla et Osman Mohamad Hamid Mohamed. Leurs avoirs sont désormais gelés et ils sont interdits de voyager.
La guerre au Soudan oppose les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) dirigées par le général Mohamad Hamdane Daglo dit Hemedti, à l'armée régulière dirigée par Abdel Fattah al-Burhan. Le Conseil souverain soudanais présidé de facto par le général al-Burhan a affirmé que toutes les facilités nécessaires seront fournies au groupe d'experts pour qu’il mène à bien sa mission.
Le groupe d'experts a commencé son travail en rencontrant les membres de la Coordination nationale soudanaise chargée de suivre l'application de la décision 1591 de l'Onu. Cette coordination dépend de la haute Commission de suivi de l'application de cette décision dirigée par le général Ibrahim Jaber.
Selon un communiqué du Conseil souverain, les membres de la coordination ont mis le groupe d'experts au courant des crimes et des exactions étendus commises par les forces de soutien rapide (FSR) envers les civils. Et cela, dans les différents États du Darfour comme ailleurs au Soudan.
La résolution 1591 avait placé des personnes et des entités non gouvernementales au Darfour, comme les Janjawid, sous embargo sur les armes. Cet embargo comprend l’assistance ou les formations militaires que des pays tiers pourraient fournir aux combattants du Darfour.
Un Comité de 15 membres du Conseil de sécurité est chargé de suivre l'application de cette décision
Vendredi dernier, le 8 novembre, le Conseil de sécurité de l'ONU a approuvé, l’ajout à la liste des sanctions propres à la résolution 1591, de deux responsables militaires des Forces de soutien rapide. Il s'agit de deux chefs de division au Darfour : Abdel Rahman Juma Barkalla et Osman Mohamad Hamid Mohamed. Leurs avoirs sont désormais gelés et ils sont interdits de voyager.
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