De nombreuses personnalités du monde des affaires et de la classe politique ont assisté lundi aux obsèques du patron de Total Christophe de Margerie, décédé la semaine dernières dans un accident d'avion en Russie, un événement aux allures d'hommage national.
La cérémonie s'est déroulée à l'église Saint-Sulpice, à Paris, en présence du président de la République, François Hollande, qui avait loué à l'annonce du décès de Christophe de Margerie un homme qui "défendait avec talent l'excellence et la réussite de la technologie française à l'étranger".
Les premières personnalités sont arrivées tôt le matin aux abords de l'église, autour de laquelle un service de sécurité imposant avait été mis en place, composé des forces de l'ordre mais aussi des différents services de sécurité des personnalités présentes.
Le convoi funéraire est arrivé un peu avant neuf heures, suivi de la famille proche de Christophe de Margerie, dont sa femme Bernadette et ses trois enfants.
Outre le président de la République, le premier ministre, Manuel Valls, un proche de Margerie, et plusieurs membres du gouvernement étaient présents, comme le ministre des Finances, Michel Sapin, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, ou la ministre de la Culture, Fleur Pellerin.
La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, a également assisté à ces obsèques.
Parmi les personnalités du monde économique, les responsables du groupe Total, dont Thierry Desmarest, ancien PDG du géant pétrolier qui est revenu mercredi dernier à la tête du groupe, mais aussi de nombreux autres dirigeants d'entreprises français, comme Thierry Breton (Atos), Alexandre Bompard (Fnac) et Pierre Gattaz (Medef).
Le monde politique était également bien représenté, avec l'ancien ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner et sa compagne Christine Ockrent, Jean-Louis Borloo ou encore Harlem Désir.
Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général de l'Elysée, ami et lié par alliance à la famille de Margerie, a pris la parole durant la cérémonie qui a débuté à 9h30 par un chant gospel.
"La France pleure la disparition d'un de ses grands dirigeants", a souligné un des prêtres officiant durant son homélie, avant que les petits enfants du défunt viennent allumer des cierges disposés autour du cercueil.
Durant toute sa carrière au sein de Total, mais plus encore depuis qu'il en avait pris les rênes en 2010, Christophe de Margerie, élevé dimanche au rang d'officier de la Légion d'honneur à titre posthume, avait noué des liens étroits avec de nombreux chefs d'Etat et responsables politiques étrangers.
De nombreuses délégations étrangères étaient ainsi venues rendre hommage au patron de Total, notamment de plusieurs pays africains. L'émir du Qatar en personne, Tamim Ben Hamad Al-Thani, accompagné de son fils, a fait le déplacement.
La Russie, dont M. de Margerie était "un vrai ami", selon les mots de son président Vladimir Poutine, était représentée par son ambassadeur, Alexandre Orlov.
A l'extérieur de l'édifice, quelques dizaines d'anonymes, dont des salariés ou anciens salariés du groupe, ont également suivi, malgré le froid piquant, la cérémonie dont le son était retransmis sur le parvis de l'église.
"Nous avons perdu quelqu'un de très grande valeur. C'était quelqu'un de très apprécié et en qui nous avions une très grande confiance", a témoigné Patrick Leroy, employé en Normandie de la branche raffinage-chimie du groupe.
Un grand portrait de Christophe de Margerie souriant et regardant sa montre, à l'image de ce patron atypique et jovial, avait été fixé sur les grilles de l'édifice.
La cérémonie s'est déroulée à l'église Saint-Sulpice, à Paris, en présence du président de la République, François Hollande, qui avait loué à l'annonce du décès de Christophe de Margerie un homme qui "défendait avec talent l'excellence et la réussite de la technologie française à l'étranger".
Les premières personnalités sont arrivées tôt le matin aux abords de l'église, autour de laquelle un service de sécurité imposant avait été mis en place, composé des forces de l'ordre mais aussi des différents services de sécurité des personnalités présentes.
Le convoi funéraire est arrivé un peu avant neuf heures, suivi de la famille proche de Christophe de Margerie, dont sa femme Bernadette et ses trois enfants.
Outre le président de la République, le premier ministre, Manuel Valls, un proche de Margerie, et plusieurs membres du gouvernement étaient présents, comme le ministre des Finances, Michel Sapin, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, ou la ministre de la Culture, Fleur Pellerin.
La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, a également assisté à ces obsèques.
Parmi les personnalités du monde économique, les responsables du groupe Total, dont Thierry Desmarest, ancien PDG du géant pétrolier qui est revenu mercredi dernier à la tête du groupe, mais aussi de nombreux autres dirigeants d'entreprises français, comme Thierry Breton (Atos), Alexandre Bompard (Fnac) et Pierre Gattaz (Medef).
Le monde politique était également bien représenté, avec l'ancien ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner et sa compagne Christine Ockrent, Jean-Louis Borloo ou encore Harlem Désir.
Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général de l'Elysée, ami et lié par alliance à la famille de Margerie, a pris la parole durant la cérémonie qui a débuté à 9h30 par un chant gospel.
"La France pleure la disparition d'un de ses grands dirigeants", a souligné un des prêtres officiant durant son homélie, avant que les petits enfants du défunt viennent allumer des cierges disposés autour du cercueil.
Durant toute sa carrière au sein de Total, mais plus encore depuis qu'il en avait pris les rênes en 2010, Christophe de Margerie, élevé dimanche au rang d'officier de la Légion d'honneur à titre posthume, avait noué des liens étroits avec de nombreux chefs d'Etat et responsables politiques étrangers.
De nombreuses délégations étrangères étaient ainsi venues rendre hommage au patron de Total, notamment de plusieurs pays africains. L'émir du Qatar en personne, Tamim Ben Hamad Al-Thani, accompagné de son fils, a fait le déplacement.
La Russie, dont M. de Margerie était "un vrai ami", selon les mots de son président Vladimir Poutine, était représentée par son ambassadeur, Alexandre Orlov.
A l'extérieur de l'édifice, quelques dizaines d'anonymes, dont des salariés ou anciens salariés du groupe, ont également suivi, malgré le froid piquant, la cérémonie dont le son était retransmis sur le parvis de l'église.
"Nous avons perdu quelqu'un de très grande valeur. C'était quelqu'un de très apprécié et en qui nous avions une très grande confiance", a témoigné Patrick Leroy, employé en Normandie de la branche raffinage-chimie du groupe.
Un grand portrait de Christophe de Margerie souriant et regardant sa montre, à l'image de ce patron atypique et jovial, avait été fixé sur les grilles de l'édifice.
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