La situation est désastreuse pour les producteurs des communes de Kidira, Sinthiou Fissa et Bélé, dans le département de Bakel, où la montée des eaux du fleuve Falémé leur a causé des dégâts considérables. Plus de 14 villages sont touchés, avec des centaines d'hectares de cultures de maïs, sorgho, niébé, gombo et piment engloutis sous les eaux, laissant les agriculteurs dévastés.
Les fortes pluies de ces derniers jours, pourtant attendues avec espoir, se sont transformées en cauchemar pour ces producteurs, qui ont vu leurs champs inondés et leurs récoltes anéanties. « Dans la commune de Kidira, rien n'y sera récolté cette année », déclare Wahab Diallo, porte-parole des producteurs de Kidira, qui décrit une situation catastrophique. Il ajoute que plus de 80 % des surfaces cultivées ont été détruites, laissant les agriculteurs dans une situation de détresse absolue.
Selon L’Observateur, à Sinthiou Fissa et Bélé, la situation n'est guère meilleure. Abdourahmane Diallo, porte-parole des habitants de Sinthiou Dialiguel (Tambacounda), témoigne de la destruction totale des 30 hectares emblavés dans la région. Il exprime une profonde inquiétude pour l'avenir, craignant une famine imminente si des secours d'urgence ne sont pas déployés rapidement.
Les producteurs, qui ont pour la plupart contracté des prêts bancaires pour financer leurs activités, se trouvent aujourd'hui dans une impasse. « Nous avons tous perdu avec ces inondations. J'ai perdu tous mes piments sur ma parcelle de 0,75 hectare », déplore Salif Niang, producteur local, qui appelle désespérément à l'aide de l'État.
Tamba Cissokho, un agent agricole basé à Kidira, qui a visité certains des sites touchés, a exprimé sa consternation face à l'ampleur des dégâts. Il appelle les autorités à intervenir rapidement pour soutenir les agriculteurs en difficulté. Il propose la construction d'une digue de protection entre le fleuve et les plantations pour éviter de futures catastrophes.
Face à cette crise, les producteurs du département de Bakel, déjà sur le qui-vive en raison des risques d'inondations, demandent une intervention urgente de l'État pour éponger leurs dettes et les aider à surmonter cette épreuve. Djibril Konaté, un autre producteur affecté, exhorte ses collègues à prendre des précautions en remontant leurs équipements d'irrigation et en évitant les zones inondables, tandis qu'ils attendent désespérément l'aide des autorités.
Les fortes pluies de ces derniers jours, pourtant attendues avec espoir, se sont transformées en cauchemar pour ces producteurs, qui ont vu leurs champs inondés et leurs récoltes anéanties. « Dans la commune de Kidira, rien n'y sera récolté cette année », déclare Wahab Diallo, porte-parole des producteurs de Kidira, qui décrit une situation catastrophique. Il ajoute que plus de 80 % des surfaces cultivées ont été détruites, laissant les agriculteurs dans une situation de détresse absolue.
Selon L’Observateur, à Sinthiou Fissa et Bélé, la situation n'est guère meilleure. Abdourahmane Diallo, porte-parole des habitants de Sinthiou Dialiguel (Tambacounda), témoigne de la destruction totale des 30 hectares emblavés dans la région. Il exprime une profonde inquiétude pour l'avenir, craignant une famine imminente si des secours d'urgence ne sont pas déployés rapidement.
Les producteurs, qui ont pour la plupart contracté des prêts bancaires pour financer leurs activités, se trouvent aujourd'hui dans une impasse. « Nous avons tous perdu avec ces inondations. J'ai perdu tous mes piments sur ma parcelle de 0,75 hectare », déplore Salif Niang, producteur local, qui appelle désespérément à l'aide de l'État.
Tamba Cissokho, un agent agricole basé à Kidira, qui a visité certains des sites touchés, a exprimé sa consternation face à l'ampleur des dégâts. Il appelle les autorités à intervenir rapidement pour soutenir les agriculteurs en difficulté. Il propose la construction d'une digue de protection entre le fleuve et les plantations pour éviter de futures catastrophes.
Face à cette crise, les producteurs du département de Bakel, déjà sur le qui-vive en raison des risques d'inondations, demandent une intervention urgente de l'État pour éponger leurs dettes et les aider à surmonter cette épreuve. Djibril Konaté, un autre producteur affecté, exhorte ses collègues à prendre des précautions en remontant leurs équipements d'irrigation et en évitant les zones inondables, tandis qu'ils attendent désespérément l'aide des autorités.
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