A la lueur de l’actualité économique et de part la pertinence des informations issues des audits portés au public, il ressort que les entreprises publiques sous tutelle de l’Etat ont été victimes de pratiques scandaleuses aux antipodes de la rectitude financière et de la discipline organisationnelle.
La passation des marchés publics et autres actes sont couronnés de mal gouvernance publique.
Les externalités négatives ou encore les conséquences lourdes et fâcheuses, découlant de cette conduite éhontée au sein desdites structures, appelées à produire dans l’exercice de son management à secréter de la valeur ajoutée, sont alarmantes à plus d’un titre. C’est l’avis commun, suite aux échanges publiques et débats recueillis, auprès des doctes analystes, observateurs, praticiens et promoteurs de la bonne gouvernance.
Pour les tenants de cette école de pensée doctrinale, aux fondements de responsabilité et de valeurs citoyennes, il n’est plus question de reconduire les tares managériales dans la gestion des deniers de l’Etat confiés. Non plus, ne point omettre de situer les responsabilités civiques et par ricochet la nécessité absolue de corriger les fautes très graves relevées au nom du Droit. Et non en faveur de l’impunité, ajuster au mieux, les déséquilibres rompus par les personnes en charge de fructifier les retombées attendues dans leur charge de manager public.
Dans une unité d’action, les voix s’accordent pour que réparations soient apportées aux préjudices, remèdes aux dérives et corrections aux abus. En effet, il est question de la mal gouvernance dans la gestion des biens publics, par des mains inexpertes à la bonne tenue des procédures en vigueur et clairement définies. C’est la manifestation d’un comportement blâmable, le signe ostentatoire d’une attitude en nette opposition de l’éthique. Tout ce rejet de respect de la bonne gouvernance, justifie cette volonté participative ou encore élan citoyen, en plus de l’attention patriotique autour des tares managériales ; questions et réponses auxquelles s’adressent les résultats publiés par l’Agence de Régulation des Marchés Publics au titre l’année 2OO9. Les tables rondes autour de cette actualité d’intérêt national ont vu intervenir d’éminents professionnels de la bonne gouvernance. Pour cause : « Je tiens particulièrement à l’ancrage de la bonne gouvernance dans la gestion des affaires publiques. Que l’on me comprenne bien. » Dixit le Président de la République Me Abdoulaye Wade, extrait des Vœux du nouvel an de 2OO5 adressés à la Nation.
L’APIX, à la lueur du travail d’experts de l’ARMP confirmés dans leur fonctions d’auditeurs agrées, est signalée au premier rang du peloton en nette opposition de l’avertissement et ordre de pensée du Chef de l’Etat .Pire, l’APIX s’est illustrée dans un terrain d’application du non respect des bonnes manières et techniques de passation des marchés publics. La directrice, non plus le chargé de communication, n’ont pu calmer les ardeurs des citoyens avertis de transparence. Au contraire, c’est par la légèreté de réponses endémiques, que ce staff du top management et au plus haut niveau hiérarchique de l’APIX essaie en vain de convaincre. Il leur a été montré à la face du peuple, pièces justificatives à l’appui, arguments de preuves convaincantes, leurs manquements notoires et errements dans les règles régissant la bonne conduite de gestion. Les abus de nature diverses faisant ainsi affront à la bonne gouvernance ont été portés à l’opinion publique. C’est le constat à la suite de l’évaluation des débats ceinturant les audits auxquels ils étaient invités par divers médias.
La gestion de l’APIX, autant décriée n’a jamais été l’objet de contestation sérieuse et professionnelle de la part des personnes en charge. Leur avantage personnel au détriment d’une gestion saine est la marque indélébile de leur doigté et empreinte.
L’Etat non plus n’a point crié gare au nom de la bonne gouvernance. On se rappelle comme si c’était hier que Monsieur Djibo KA, pétri dans l’administration publique alors dans les rangs de l’opposition, fustigea sans retenue le statut non conforme de l’APIX. Et sans réserve, porta son jugement dans la presse, l’exploitation non orthodoxe de l’APIX et de demander son audit. Il a fallu son insertion comme partenaire stratégique de l’alternance pour que le Ministre d’Etat de l’heure calmât ses ardeurs de clairvoyance dans la chose publique.
A présent, Il est de droit que le peuple victime de la mal gouvernance de l’APIX demande justice. Une des étapes consiste à les conscientiser sur la gravité des faits, cerner les fautes impardonnables parce que non justifiées. Tous les éléments portés au public par l’ARMP pointent un doigt accusateur en laissant paraitre au grand jour la mal gouvernance de l’APIX. Il y a lieu d’y voir clair. C’est toute la portée des informations apportées par L’ARMP.C’est aussi une stratégie de revalorisation des vœux du Président de la République : « N’oublions jamais que le déficit de bonne gouvernance, sous quelconque forme qu’il se manifeste, constitue une grave entorse au processus de développement en ce sens qu’il décourage l’investissement, porte atteinte à la qualité de service et détourne les ressources autres que celles du développement. »
Les externalités négatives, issues de mauvais choix d’Homme ou de Femme aux commandes d’une société d’Etat, résultent du népotisme et du favoritisme. Les torts sont répercutés sur les pauvres citoyens démunis. Les auteurs ont opté pour la mal gouvernance avec la complicité de l’Etat. Telle est la teneur des corrections à apporter. Les supports de communication de l’APIX, les bénéficiaires des marchés alloués, sans rigueur administrative et les publicités tapageuses n’étaient que de la complicité, pour cacher les défauts d’incompétence et d'inexpertise dans l’exercice des fonctions. ARMP est appelée à aller de loin dans la mal gouvernance décriée dans l’APIX.
Dans les faits, l’APIX a une double particularité combinant à la fois des aspects politico financiers. L’APIX est à l’origine, une agence née sous l’ère de l’alternance et dirigée par une seule personne cumulant à présent des fonctions de ministre et de directrice générale. Il revient à la justice d’apprécier la juste valeur de cette promotion et d’apporter des éléments de réponse au peuple qui demande plus de lumière suite aux résultats publiés par l’Agence de Régulation des Marchés Publics au titre l’année 2OO9, l’APIX en ligne de mire.
Alassane Seck
Expert en Evaluation et Renforcement de capacités dans les entreprises publiques. Dakar Fann
alaseck@gmail.com
La passation des marchés publics et autres actes sont couronnés de mal gouvernance publique.
Les externalités négatives ou encore les conséquences lourdes et fâcheuses, découlant de cette conduite éhontée au sein desdites structures, appelées à produire dans l’exercice de son management à secréter de la valeur ajoutée, sont alarmantes à plus d’un titre. C’est l’avis commun, suite aux échanges publiques et débats recueillis, auprès des doctes analystes, observateurs, praticiens et promoteurs de la bonne gouvernance.
Pour les tenants de cette école de pensée doctrinale, aux fondements de responsabilité et de valeurs citoyennes, il n’est plus question de reconduire les tares managériales dans la gestion des deniers de l’Etat confiés. Non plus, ne point omettre de situer les responsabilités civiques et par ricochet la nécessité absolue de corriger les fautes très graves relevées au nom du Droit. Et non en faveur de l’impunité, ajuster au mieux, les déséquilibres rompus par les personnes en charge de fructifier les retombées attendues dans leur charge de manager public.
Dans une unité d’action, les voix s’accordent pour que réparations soient apportées aux préjudices, remèdes aux dérives et corrections aux abus. En effet, il est question de la mal gouvernance dans la gestion des biens publics, par des mains inexpertes à la bonne tenue des procédures en vigueur et clairement définies. C’est la manifestation d’un comportement blâmable, le signe ostentatoire d’une attitude en nette opposition de l’éthique. Tout ce rejet de respect de la bonne gouvernance, justifie cette volonté participative ou encore élan citoyen, en plus de l’attention patriotique autour des tares managériales ; questions et réponses auxquelles s’adressent les résultats publiés par l’Agence de Régulation des Marchés Publics au titre l’année 2OO9. Les tables rondes autour de cette actualité d’intérêt national ont vu intervenir d’éminents professionnels de la bonne gouvernance. Pour cause : « Je tiens particulièrement à l’ancrage de la bonne gouvernance dans la gestion des affaires publiques. Que l’on me comprenne bien. » Dixit le Président de la République Me Abdoulaye Wade, extrait des Vœux du nouvel an de 2OO5 adressés à la Nation.
L’APIX, à la lueur du travail d’experts de l’ARMP confirmés dans leur fonctions d’auditeurs agrées, est signalée au premier rang du peloton en nette opposition de l’avertissement et ordre de pensée du Chef de l’Etat .Pire, l’APIX s’est illustrée dans un terrain d’application du non respect des bonnes manières et techniques de passation des marchés publics. La directrice, non plus le chargé de communication, n’ont pu calmer les ardeurs des citoyens avertis de transparence. Au contraire, c’est par la légèreté de réponses endémiques, que ce staff du top management et au plus haut niveau hiérarchique de l’APIX essaie en vain de convaincre. Il leur a été montré à la face du peuple, pièces justificatives à l’appui, arguments de preuves convaincantes, leurs manquements notoires et errements dans les règles régissant la bonne conduite de gestion. Les abus de nature diverses faisant ainsi affront à la bonne gouvernance ont été portés à l’opinion publique. C’est le constat à la suite de l’évaluation des débats ceinturant les audits auxquels ils étaient invités par divers médias.
La gestion de l’APIX, autant décriée n’a jamais été l’objet de contestation sérieuse et professionnelle de la part des personnes en charge. Leur avantage personnel au détriment d’une gestion saine est la marque indélébile de leur doigté et empreinte.
L’Etat non plus n’a point crié gare au nom de la bonne gouvernance. On se rappelle comme si c’était hier que Monsieur Djibo KA, pétri dans l’administration publique alors dans les rangs de l’opposition, fustigea sans retenue le statut non conforme de l’APIX. Et sans réserve, porta son jugement dans la presse, l’exploitation non orthodoxe de l’APIX et de demander son audit. Il a fallu son insertion comme partenaire stratégique de l’alternance pour que le Ministre d’Etat de l’heure calmât ses ardeurs de clairvoyance dans la chose publique.
A présent, Il est de droit que le peuple victime de la mal gouvernance de l’APIX demande justice. Une des étapes consiste à les conscientiser sur la gravité des faits, cerner les fautes impardonnables parce que non justifiées. Tous les éléments portés au public par l’ARMP pointent un doigt accusateur en laissant paraitre au grand jour la mal gouvernance de l’APIX. Il y a lieu d’y voir clair. C’est toute la portée des informations apportées par L’ARMP.C’est aussi une stratégie de revalorisation des vœux du Président de la République : « N’oublions jamais que le déficit de bonne gouvernance, sous quelconque forme qu’il se manifeste, constitue une grave entorse au processus de développement en ce sens qu’il décourage l’investissement, porte atteinte à la qualité de service et détourne les ressources autres que celles du développement. »
Les externalités négatives, issues de mauvais choix d’Homme ou de Femme aux commandes d’une société d’Etat, résultent du népotisme et du favoritisme. Les torts sont répercutés sur les pauvres citoyens démunis. Les auteurs ont opté pour la mal gouvernance avec la complicité de l’Etat. Telle est la teneur des corrections à apporter. Les supports de communication de l’APIX, les bénéficiaires des marchés alloués, sans rigueur administrative et les publicités tapageuses n’étaient que de la complicité, pour cacher les défauts d’incompétence et d'inexpertise dans l’exercice des fonctions. ARMP est appelée à aller de loin dans la mal gouvernance décriée dans l’APIX.
Dans les faits, l’APIX a une double particularité combinant à la fois des aspects politico financiers. L’APIX est à l’origine, une agence née sous l’ère de l’alternance et dirigée par une seule personne cumulant à présent des fonctions de ministre et de directrice générale. Il revient à la justice d’apprécier la juste valeur de cette promotion et d’apporter des éléments de réponse au peuple qui demande plus de lumière suite aux résultats publiés par l’Agence de Régulation des Marchés Publics au titre l’année 2OO9, l’APIX en ligne de mire.
Alassane Seck
Expert en Evaluation et Renforcement de capacités dans les entreprises publiques. Dakar Fann
alaseck@gmail.com
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