Depuis quelques temps, la police mène la vie dure aux chauffeurs de taxis clandestins communément appelé ‘‘clandos’’. On assiste à des contrôles très stricts et même à des retraits de papiers.
La peur, c’est le principal sentiment qui est le mieux partagé par les chauffeurs de clandos qui sont depuis quelques temps la cible des policiers. En effet, depuis un certain temps, il est interdit aux clandos de circuler. Cette interdiction commence à perdurer et les chauffeurs avouent avoir peur de désobéir.
Ils avouent être conscients d’être fautifs car comme leur nom l’indique : «ils sont dans l’illégalité » souligne El Hadji, un chauffeur désappointé et très hagard. Il dit ne pas pouvoir nous expliquer de peur que les policiers leur créer des problèmes après. En effet, il confie qu’après un reportage, les policiers leur créent des ennuis en a plus finir et préfère attendre sagement que la volonté du bon Dieu se réalise.
Trouvé à liberté 5, El Hadj nous révèle qu’il s’adonne à cette activité parce qu’il n’a plus rien à faire et veut gagner sa vie décemment.
Très élancé, la vingtaine environ, ce jeune homme fait savoir quant à lui qu’il ne sait pas pourquoi on leur interdit de circuler. Préférant garder son nom, il avoue que les policiers sont juste là à coté et personne n’ose transgresser l’interdiction. Cependant, il préfère s’en arrêté là pour ne pas avoir lui aussi des ennuis, un sentiment qui est partagé par ses collègues.
La peur, c’est le principal sentiment qui est le mieux partagé par les chauffeurs de clandos qui sont depuis quelques temps la cible des policiers. En effet, depuis un certain temps, il est interdit aux clandos de circuler. Cette interdiction commence à perdurer et les chauffeurs avouent avoir peur de désobéir.
Ils avouent être conscients d’être fautifs car comme leur nom l’indique : «ils sont dans l’illégalité » souligne El Hadji, un chauffeur désappointé et très hagard. Il dit ne pas pouvoir nous expliquer de peur que les policiers leur créer des problèmes après. En effet, il confie qu’après un reportage, les policiers leur créent des ennuis en a plus finir et préfère attendre sagement que la volonté du bon Dieu se réalise.
Trouvé à liberté 5, El Hadj nous révèle qu’il s’adonne à cette activité parce qu’il n’a plus rien à faire et veut gagner sa vie décemment.
Très élancé, la vingtaine environ, ce jeune homme fait savoir quant à lui qu’il ne sait pas pourquoi on leur interdit de circuler. Préférant garder son nom, il avoue que les policiers sont juste là à coté et personne n’ose transgresser l’interdiction. Cependant, il préfère s’en arrêté là pour ne pas avoir lui aussi des ennuis, un sentiment qui est partagé par ses collègues.
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