Les producteurs des terres neuves de Koumpentoum, situées à l'est du pays, expriment leur inquiétude face à l'état des routes, qui complique l'acheminement de leurs récoltes. Actuellement, la période des récoltes bat son plein dans cette région. Alassane Ndour, porte-parole des producteurs, a déclaré au correspondant de la RFM que les autorités doivent intervenir pour désenclaver la zone.
"Ici, nous rencontrons de grandes difficultés pendant la période des récoltes, notamment en raison de l'accès, car les routes sont en très mauvais état. Cela rend le transport des récoltes vers les usines très compliqué. Nous faisons face à un véritable problème d'accès et demandons à l'État d'aider les terres neuves de Koumpentoum pour améliorer cette situation", a-t-il affirmé.
Il a également sollicité un soutien supplémentaire de l'État pour la mécanisation de l'agriculture, en soulignant que les agriculteurs continuent d'utiliser des outils traditionnels comme les houes Sine, rendant difficile l'obtention de rendements satisfaisants.
Dans cette région, la récolte du mil et du maïs est en cours, tandis que les arachides nécessitent encore du temps pour mûrir. Cependant, Alassane Ndour a averti que les prévisions de récolte d'arachide sont très inquiétantes. Il a lancé un appel à l'État pour qu'il prenne des mesures afin de minimiser les conséquences futures, en trouvant des solutions pour les populations des terres neuves, qui dépendent largement de cette culture pour résoudre leurs problèmes.
"Ici, nous rencontrons de grandes difficultés pendant la période des récoltes, notamment en raison de l'accès, car les routes sont en très mauvais état. Cela rend le transport des récoltes vers les usines très compliqué. Nous faisons face à un véritable problème d'accès et demandons à l'État d'aider les terres neuves de Koumpentoum pour améliorer cette situation", a-t-il affirmé.
Il a également sollicité un soutien supplémentaire de l'État pour la mécanisation de l'agriculture, en soulignant que les agriculteurs continuent d'utiliser des outils traditionnels comme les houes Sine, rendant difficile l'obtention de rendements satisfaisants.
Dans cette région, la récolte du mil et du maïs est en cours, tandis que les arachides nécessitent encore du temps pour mûrir. Cependant, Alassane Ndour a averti que les prévisions de récolte d'arachide sont très inquiétantes. Il a lancé un appel à l'État pour qu'il prenne des mesures afin de minimiser les conséquences futures, en trouvant des solutions pour les populations des terres neuves, qui dépendent largement de cette culture pour résoudre leurs problèmes.
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