«Ce que Macky Sall envisage de faire dans ce pays, qu’il a commencé depuis les législatives, qu’il a poursuivi durant les inscriptions, et qu’il compte terminer avec le parrainage, si cela aboutit, nous aurons un autre Sénégal », a déclaré Thierno Alassane Sall à sa prise de parole lors du meeting de l’IED.
L’ancien ministre de l’Energie d’affirmer que la façon de faire de Macky Sall est similaire à celle de Yaya Jammeh car, le chef de l’Etat sénégalais, tout comme son ancien homologue gambien qui n’avait pas hésité à emprisonner ses adversaires politiques, Macky Sall est en train d’user de la même pratique car une partie de ses opposants est sur le d’être mise derrière les barreaux.
La seconde ressemblance entre les deux hommes, révèle-t-il, est que Macky Sall va se servir du «Conseil Constitutionnel, le moment venu, pour invalider des signatures de Sénégalais pour cause de similitudes. Et pourtant, ces similitudes ne pourront pas être évitées du fait que beaucoup de nos compatriote signent avec une lettre de l’alphabet arabe ou avec une simple croix».
La troisième comparaison que le chef de file de la «République des valeurs» a relevé, c’est de se servir des forces de l’ordre pour affaiblir l’opposition. Ce que nous n’accepterons pas».
Cependant, l’ancien leader des cadres de l’Apr trouve que l’ancien chef de l’Etat gambien est un peu plus démocratique que le Président Sall. Car, souligne-t-il, «Yaya Jammeh, croyant qu’il allait gagner les élections, a laissé le processus électoral se poursuivre normalement, ce qui l’a perdu. Et c’est là où son ancien homologue lui a damé le pion.
L’ancien ministre de l’Energie d’affirmer que la façon de faire de Macky Sall est similaire à celle de Yaya Jammeh car, le chef de l’Etat sénégalais, tout comme son ancien homologue gambien qui n’avait pas hésité à emprisonner ses adversaires politiques, Macky Sall est en train d’user de la même pratique car une partie de ses opposants est sur le d’être mise derrière les barreaux.
La seconde ressemblance entre les deux hommes, révèle-t-il, est que Macky Sall va se servir du «Conseil Constitutionnel, le moment venu, pour invalider des signatures de Sénégalais pour cause de similitudes. Et pourtant, ces similitudes ne pourront pas être évitées du fait que beaucoup de nos compatriote signent avec une lettre de l’alphabet arabe ou avec une simple croix».
La troisième comparaison que le chef de file de la «République des valeurs» a relevé, c’est de se servir des forces de l’ordre pour affaiblir l’opposition. Ce que nous n’accepterons pas».
Cependant, l’ancien leader des cadres de l’Apr trouve que l’ancien chef de l’Etat gambien est un peu plus démocratique que le Président Sall. Car, souligne-t-il, «Yaya Jammeh, croyant qu’il allait gagner les élections, a laissé le processus électoral se poursuivre normalement, ce qui l’a perdu. Et c’est là où son ancien homologue lui a damé le pion.
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