Deux corps sans vie ont été découverts à Thiès en l’espace d’une matinée. Le premier corps, identifié comme celui de Sadibou Kâ, un jeune berger de 24 ans originaire de Thiaoune Peulh, a été retrouvé dans une décharge au quartier Médina Fall. Le second, encore non identifié, a été découvert à Diassap, près du Pont 5, dans des circonstances tout aussi troublantes.
Selon L’Observateur, le corps de Sadibou Kâ a été découvert dans la matinée du jeudi 2 janvier par un enfant qui a alerté les riverains. Rapidement, la police et les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place pour effectuer les premières constatations avant de transférer la dépouille à la morgue de l’hôpital régional de Thiès.
Originaire du village de Thiaoune Peulh, Sadibou Kâ avait quitté son domicile dans la nuit du 31 décembre pour participer aux festivités de fin d’année. Selon ses proches, il n’est jamais rentré chez lui. Son père, inquiet de ne pas le voir le matin du 1er janvier, a entrepris des recherches infructueuses avant d’être informé de la découverte d’un corps correspondant à sa description.
Identifié au commissariat central de Thiès, Sadibou Kâ aurait été tué d’un coup de fusil à la poitrine, souligne le journal. « Nous ignorons les motivations de ce meurtre, mais nous pensons à une agression », a confié son oncle, sous le choc.
Quelques heures après la découverte de Sadibou, un autre corps sans vie a été retrouvé à Diassap, juste après le Pont 5. La victime, tuée « à coups de briques », n’a pas encore été identifiée. Cependant, les premiers éléments de l’enquête suggèrent qu’il pourrait s’agir d’un conducteur de moto-taxi, communément appelé « jakartaman », une cible fréquente d’agressions violentes dans cette zone.
L’enquête est en cours.
Selon L’Observateur, le corps de Sadibou Kâ a été découvert dans la matinée du jeudi 2 janvier par un enfant qui a alerté les riverains. Rapidement, la police et les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place pour effectuer les premières constatations avant de transférer la dépouille à la morgue de l’hôpital régional de Thiès.
Originaire du village de Thiaoune Peulh, Sadibou Kâ avait quitté son domicile dans la nuit du 31 décembre pour participer aux festivités de fin d’année. Selon ses proches, il n’est jamais rentré chez lui. Son père, inquiet de ne pas le voir le matin du 1er janvier, a entrepris des recherches infructueuses avant d’être informé de la découverte d’un corps correspondant à sa description.
Identifié au commissariat central de Thiès, Sadibou Kâ aurait été tué d’un coup de fusil à la poitrine, souligne le journal. « Nous ignorons les motivations de ce meurtre, mais nous pensons à une agression », a confié son oncle, sous le choc.
Quelques heures après la découverte de Sadibou, un autre corps sans vie a été retrouvé à Diassap, juste après le Pont 5. La victime, tuée « à coups de briques », n’a pas encore été identifiée. Cependant, les premiers éléments de l’enquête suggèrent qu’il pourrait s’agir d’un conducteur de moto-taxi, communément appelé « jakartaman », une cible fréquente d’agressions violentes dans cette zone.
L’enquête est en cours.
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