Faure Gnassingbe (Photo:fabbikouassi.files.wordpress.com)
« A l’heure actuelle, 10 civils ont été déférés, inculpés et mis sous mandat de dépôt » alors que « 18 militaires (…) ainsi qu’un officier adjoint de police sont sous sanction disciplinaire de leurs corps respectifs avant leur remise aux autorités judiciaires », affirme un communiqué du procureur parvenu à Ouestafnews.
Parmi les 18 militaires, figurent 5 officiers.
C’est la première fois que les autorités togolaises donnent le nombre exact de personnes détenues pour leur implication supposée dans la tentative de putsch, qui a conduit à l’arrestation d’un frère du président, soupçonné d’être le cerveau de l’affaire.
Selon le communiqué du procureur, un certain nombre de personnes ont été « relâchées » après leur interrogatoire et celles qui restent en état d’arrestation l’ont été à la suite « d’aveux circonstanciés ».
Tout en affirmant que les « mis en cause bénéficient de la présomption d’innocence », le procureur souligne que « les discours qui devaient être prononcés après le renversement des institutions de la république ont été saisis et mis sous scellés ».
Kpatcha Gnassingbé, frère du président avaient été arrêté mi-avril à Lomé suite à des accusations de complot contre le chef de l’Etat. Diverses sources évoquaient plusieurs arrestations, mais le gouvernement n’avait jusque là fourni aucun chiffre sur le nombre total de personnes arrêtées dans le cadre de cette affaire.
Parmi les 18 militaires, figurent 5 officiers.
C’est la première fois que les autorités togolaises donnent le nombre exact de personnes détenues pour leur implication supposée dans la tentative de putsch, qui a conduit à l’arrestation d’un frère du président, soupçonné d’être le cerveau de l’affaire.
Selon le communiqué du procureur, un certain nombre de personnes ont été « relâchées » après leur interrogatoire et celles qui restent en état d’arrestation l’ont été à la suite « d’aveux circonstanciés ».
Tout en affirmant que les « mis en cause bénéficient de la présomption d’innocence », le procureur souligne que « les discours qui devaient être prononcés après le renversement des institutions de la république ont été saisis et mis sous scellés ».
Kpatcha Gnassingbé, frère du président avaient été arrêté mi-avril à Lomé suite à des accusations de complot contre le chef de l’Etat. Diverses sources évoquaient plusieurs arrestations, mais le gouvernement n’avait jusque là fourni aucun chiffre sur le nombre total de personnes arrêtées dans le cadre de cette affaire.
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