« L’argent de tous les partis politiques vient en général d’une personne au Sénégal et de quelques personnes, de quelques institutions publiques ou privées à l’étranger. Aucun parti politique n’a fonctionné avec les cotisations de ses membres. Je défie tout parti politique au Sénégal de prouver qu’il a fonctionné avec des cotisations de ses membres », a lancé le leader de l’union pour la république.
Concernant l’article 3 qui stipule que « chaque parti politique doit déposer au plus tard le 31 janvier le compte financier de l’édifice écoulé. Ce compte doit faire apparaître que le parti politique ne bénéficie d’ autres ressources que celle provenant des cotisations, dons et legs de ses adhérents et ses sympathisants nationaux et des bénéfices réalisés à l’occasion de manifestations », l’avocat soutien « qu’aucun article n’a de sens dans ce pays ».
Pour lui, « rien de rien n’est respecté convenablement dans ce pays. Aucun article n’est régulier au regard de cet article. Aucun parti n’a jamais respecté les lois dans ce pays », a affirmé Me Doudou Ndoye.
Par contre l’avocat est foncièrement contre l’appui d’un État tiers de peser sur l’issue de ces élections. Il faut qu’on apprenne à respecter les lois du pays et à les faire respecter ». Ce qui pourrait être interdit selon le juriste est qu’un parti politique soit financé par des pays étrangers ou des intuitions privées ou public étrangères au Sénégal pour conditionner l’électorat. » Il faut refuser que des pays étrangers s’infiltrent dans notre vie publique et payent nos hommes d'État pour gouverner sous leurs ordres. », a soutenu Me Ndoye.
À la question de savoir pourquoi les partis politiques sénégalais ne sont pas financièrement indépendants ? Me Ndoye estime que «cela est dû au non-respect des cotisations par les militants des formations politiques. C’est par ce que les Sénégalais ne cotisent jamais en quoi que ce soit. La notion de cotisation et des charges individuelles n’existent pas chez nous. Les gens viennent prendre, mais ne viennent pas donner. »
Concernant l’article 3 qui stipule que « chaque parti politique doit déposer au plus tard le 31 janvier le compte financier de l’édifice écoulé. Ce compte doit faire apparaître que le parti politique ne bénéficie d’ autres ressources que celle provenant des cotisations, dons et legs de ses adhérents et ses sympathisants nationaux et des bénéfices réalisés à l’occasion de manifestations », l’avocat soutien « qu’aucun article n’a de sens dans ce pays ».
Pour lui, « rien de rien n’est respecté convenablement dans ce pays. Aucun article n’est régulier au regard de cet article. Aucun parti n’a jamais respecté les lois dans ce pays », a affirmé Me Doudou Ndoye.
Par contre l’avocat est foncièrement contre l’appui d’un État tiers de peser sur l’issue de ces élections. Il faut qu’on apprenne à respecter les lois du pays et à les faire respecter ». Ce qui pourrait être interdit selon le juriste est qu’un parti politique soit financé par des pays étrangers ou des intuitions privées ou public étrangères au Sénégal pour conditionner l’électorat. » Il faut refuser que des pays étrangers s’infiltrent dans notre vie publique et payent nos hommes d'État pour gouverner sous leurs ordres. », a soutenu Me Ndoye.
À la question de savoir pourquoi les partis politiques sénégalais ne sont pas financièrement indépendants ? Me Ndoye estime que «cela est dû au non-respect des cotisations par les militants des formations politiques. C’est par ce que les Sénégalais ne cotisent jamais en quoi que ce soit. La notion de cotisation et des charges individuelles n’existent pas chez nous. Les gens viennent prendre, mais ne viennent pas donner. »
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