«Tous les mandats qui étaient arrivés chez les payeurs en arriérés ont été intégralement payés. Nous avions trouvé 150 milliards d’arriérés en mars tout a été épongé», a déclaré le ministre des Finances Amadou Kane sur la question de la dette intérieure.
Par rapport à la dette contractée auprès des partenaires internationaux, l’argentier de l’Etat a indiqué que «des efforts importants ont été faits». Il a expliqué qu’un travail a été effectué pour le reprofilage de notre endettement. «Nous ne voulons plus emprunter à des taux élevés. Nous avons réussi à baisser de façon significative le service de la dette qui absorbait une bonne partie de nos ressources», a-t-précisé.
Amadou Kane a, dans le même sillage, fait savoir que «nous améliorons la situation et affectons les marges que nous gagnons à plus d’investissement. Notre volume de dette reste encore supportable mais on le fait dans des conditions meilleures qui permettent de gérer le service de la dette».
Sur un autre registre, le ministre des Finances du Sénégal a révélé que «le déficit budgétaire trouvé en place était 8,2% du PIB soit plus de 600 milliards. Aujourd’hui, c’est à moins de 6% de déficit. Nous l’avons ramené à 400 milliards». Et de se glorifier : «nous payons les salaires et avons procédé à des réformes pour améliorer les revenus du salarié du public. La situation est meilleure qu’avant et nous poursuivons méthodiquement nos efforts. Toutes les marges d’économie que nous faisons nous les mettons dans le financement de la croissance».
Selon Amadou Kane, «la difficulté de l’Etat est de concilier la réduction des déficits avec une croissance». Et de poursuivre : «on est en train de restaurer les grands équilibres macroéconomiques. Ce n’est pas seulement la croissance ni l’inflation (qui était de 3,4% supérieure à ce que préconise l’UEMOA et ramenée à 1,4%) beaucoup moins que ce qui était atteint en 2011».
Par rapport à la dette contractée auprès des partenaires internationaux, l’argentier de l’Etat a indiqué que «des efforts importants ont été faits». Il a expliqué qu’un travail a été effectué pour le reprofilage de notre endettement. «Nous ne voulons plus emprunter à des taux élevés. Nous avons réussi à baisser de façon significative le service de la dette qui absorbait une bonne partie de nos ressources», a-t-précisé.
Amadou Kane a, dans le même sillage, fait savoir que «nous améliorons la situation et affectons les marges que nous gagnons à plus d’investissement. Notre volume de dette reste encore supportable mais on le fait dans des conditions meilleures qui permettent de gérer le service de la dette».
Sur un autre registre, le ministre des Finances du Sénégal a révélé que «le déficit budgétaire trouvé en place était 8,2% du PIB soit plus de 600 milliards. Aujourd’hui, c’est à moins de 6% de déficit. Nous l’avons ramené à 400 milliards». Et de se glorifier : «nous payons les salaires et avons procédé à des réformes pour améliorer les revenus du salarié du public. La situation est meilleure qu’avant et nous poursuivons méthodiquement nos efforts. Toutes les marges d’économie que nous faisons nous les mettons dans le financement de la croissance».
Selon Amadou Kane, «la difficulté de l’Etat est de concilier la réduction des déficits avec une croissance». Et de poursuivre : «on est en train de restaurer les grands équilibres macroéconomiques. Ce n’est pas seulement la croissance ni l’inflation (qui était de 3,4% supérieure à ce que préconise l’UEMOA et ramenée à 1,4%) beaucoup moins que ce qui était atteint en 2011».
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