Le gouvernement haïtien a décidé samedi 23 janvier l'arrêt des opérations de recherche des personnes ensevelies. Pourtant des miracles restent possibles. Le même jour, un homme de 25 ans a encore été dégagé vivant après avoir passé onze jours sous les décombres. La veille, une femme de 84 ans et un jeune homme de 22 ans ont eux aussi été retrouvés vivants sous les ruines. Au moins 132 survivants ont été secourus depuis le séisme du 12 janvier, ont annoncé les Nations unies. Mais l’espoir de retrouver d’autres survivants est de plus en plus mince.
Alors les autorités haïtiennes ont décidé de mettre fin aux recherches de survivants, désormais leur priorité est de venir en aide aux près de 200 000 blessés et à un million de sans-abri.
Urgence
Selon le ministère haïtien de l'Intérieur la moitié des maisons de Port-au-Prince, Jacmel et Léogâne, les trois villes les plus affectées par le séisme, sont détruites. Les hôpitaux du pays sont saturés. Les Haïtiens tentent de quitter le pays pour la République dominicaine voisine.
La distribution de l'aide humanitaire reste chaotique. Samedi, elle a donné lieu à des échauffourées sur un ancien aéroport de Port-au-Prince. La plupart des sinistrés présents n'avaient encore rien reçu depuis onze jours. Les casques bleus brésiliens ont alors fait usage de leurs armes, procédant à des tirs d'avertissement et lançant des gaz lacrymogènes.
La France, les Etats-Unis, le Brésil et tous les « pays amis » d'Haïti, se réunirons lundi 25 janvier à Montréal, au Canada, pour coordonner l'aide et préparer une conférence sur la reconstruction, en mars. Le Fonds monétaire international (FMI) a exhorté ces pays donateurs à adopter un « plan Marshall » pour Haïti.
Alors les autorités haïtiennes ont décidé de mettre fin aux recherches de survivants, désormais leur priorité est de venir en aide aux près de 200 000 blessés et à un million de sans-abri.
Urgence
Selon le ministère haïtien de l'Intérieur la moitié des maisons de Port-au-Prince, Jacmel et Léogâne, les trois villes les plus affectées par le séisme, sont détruites. Les hôpitaux du pays sont saturés. Les Haïtiens tentent de quitter le pays pour la République dominicaine voisine.
La distribution de l'aide humanitaire reste chaotique. Samedi, elle a donné lieu à des échauffourées sur un ancien aéroport de Port-au-Prince. La plupart des sinistrés présents n'avaient encore rien reçu depuis onze jours. Les casques bleus brésiliens ont alors fait usage de leurs armes, procédant à des tirs d'avertissement et lançant des gaz lacrymogènes.
La France, les Etats-Unis, le Brésil et tous les « pays amis » d'Haïti, se réunirons lundi 25 janvier à Montréal, au Canada, pour coordonner l'aide et préparer une conférence sur la reconstruction, en mars. Le Fonds monétaire international (FMI) a exhorté ces pays donateurs à adopter un « plan Marshall » pour Haïti.
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