Sous mandat de dépôt depuis le 12 septembre dernier, M.N a comparu mercredi devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar pour collecte illicite de données et atteinte à l'intimité de sa collègue et ancienne petite amie, N.G. Il a été condamné à 2 ans de prison, dont 4 mois ferme, rapporte L’Observateur.
Selon le journal, M.N. et N.G. entretenaient une relation amoureuse pendant six ans. Au cours de leur relation, M.N. a enregistré des vidéos intimes à l'insu de N.G. Après leur séparation, alors qu'ils maintenaient des rapports professionnels, N.G. a sollicité l'aide de M.N. pour acquérir des sacs de sucre, d'une valeur de 225 000 FCFA. Cependant, la marchandise s'est révélée frauduleuse et a été saisie par la douane.
Lorsqu'elle a demandé à M.N. de régler la situation, celui-ci a refusé et a exigé son remboursement. Face à son refus, M.N. a commencé à diffuser les vidéos compromettantes. Il a d'abord envoyé une vidéo à un de leurs collègues, qui l'a ensuite partagée avec N.G., provoquant un choc chez cette dernière. Elle a alors déposé plainte auprès de la Sûreté urbaine.
À la barre, M.N. a d'abord nié les faits, affirmant que la vidéo n'était pas compromettante. «J'avoue, j'ai pris la vidéo à son insu, mais elle n'était pas compromettante. N. G. n'était pas toute nue. Elle portait un pantalon», a-t-il tenté de se dédouaner, relate le quotidien du Groupe Futurs Médias.
Mais face à l'insistance du procureur, il a fini par admettre sa faute. Le maître des poursuites a requis contre lui 3 mois ferme. Les avocats de la défense ont sollicité une application bienveillante de la loi. Finalement, Moussa a pris 2 ans, dont 4 mois ferme.
Selon le journal, M.N. et N.G. entretenaient une relation amoureuse pendant six ans. Au cours de leur relation, M.N. a enregistré des vidéos intimes à l'insu de N.G. Après leur séparation, alors qu'ils maintenaient des rapports professionnels, N.G. a sollicité l'aide de M.N. pour acquérir des sacs de sucre, d'une valeur de 225 000 FCFA. Cependant, la marchandise s'est révélée frauduleuse et a été saisie par la douane.
Lorsqu'elle a demandé à M.N. de régler la situation, celui-ci a refusé et a exigé son remboursement. Face à son refus, M.N. a commencé à diffuser les vidéos compromettantes. Il a d'abord envoyé une vidéo à un de leurs collègues, qui l'a ensuite partagée avec N.G., provoquant un choc chez cette dernière. Elle a alors déposé plainte auprès de la Sûreté urbaine.
À la barre, M.N. a d'abord nié les faits, affirmant que la vidéo n'était pas compromettante. «J'avoue, j'ai pris la vidéo à son insu, mais elle n'était pas compromettante. N. G. n'était pas toute nue. Elle portait un pantalon», a-t-il tenté de se dédouaner, relate le quotidien du Groupe Futurs Médias.
Mais face à l'insistance du procureur, il a fini par admettre sa faute. Le maître des poursuites a requis contre lui 3 mois ferme. Les avocats de la défense ont sollicité une application bienveillante de la loi. Finalement, Moussa a pris 2 ans, dont 4 mois ferme.
Autres articles
-
Nécrologie : Décès de l’ancien ministre des Finances et du budget, Mamadou Moustapha Bâ
-
Le prix Renaudot 2024 attribué à Gaël Faye pour son roman «Jacaranda»
-
Santé : le Satsus annonce une grève de 24 heures le 13 novembre
-
Kaolack : des parents d'élèves ferment l'école Fass Ridwane pour manque d'eau
-
Pape Alé Niang : « la tour de la RTS a déjà englouti 33 milliards FCFA et n’est pas opérationnelle »