En Tunisie, le scrutin présidentiel anticipé est prévu pour le 15 septembre prochain. Et pour la première fois dans le pays, les candidats retenus vont être invités à s'exprimer dans trois débats télévisés, organisés par la chaîne de télévision nationale, la Haute Autorité de l'audiovisuel et l'instance chargée des élections.
Ces trois débats télévisés sont présentés par le PDG de Wataniya, la télévision nationale qui va les organiser, comme un moyen de renforcer la démocratie. « On essaie de permettre aux électeurs de se faire par eux-mêmes une image plus précise de chaque candidat », a-t-il déclaré.
Des candidats, il y en a pour l'instant 26, même si la liste n'est pas encore complètement définitive. Ils auront donc tous l'occasion de débattre ensemble et en direct sur le petit écran les 11, 12 et 13 septembre, les trois derniers jours de la campagne.
Plus de sept heures de débats
Chaque émission doit durer 2h30, avec un temps de parole équivalent pour chacun des aspirants à la présidence. L'ONG Mutharana, qui promeut la démocratie, a apporté son soutien à l'organisation de ces débats et se félicite de la mise en place du programme.
C'est la première fois que la Tunisie organise ce type d’exercice. En 2014, lors de la première élection présidentielle post-révolution, certains candidats avaient bien débattu individuellement avec des électeurs, mais jamais tous ensemble et dans un cadre officiel comme cette année.
Ces trois débats télévisés sont présentés par le PDG de Wataniya, la télévision nationale qui va les organiser, comme un moyen de renforcer la démocratie. « On essaie de permettre aux électeurs de se faire par eux-mêmes une image plus précise de chaque candidat », a-t-il déclaré.
Des candidats, il y en a pour l'instant 26, même si la liste n'est pas encore complètement définitive. Ils auront donc tous l'occasion de débattre ensemble et en direct sur le petit écran les 11, 12 et 13 septembre, les trois derniers jours de la campagne.
Plus de sept heures de débats
Chaque émission doit durer 2h30, avec un temps de parole équivalent pour chacun des aspirants à la présidence. L'ONG Mutharana, qui promeut la démocratie, a apporté son soutien à l'organisation de ces débats et se félicite de la mise en place du programme.
C'est la première fois que la Tunisie organise ce type d’exercice. En 2014, lors de la première élection présidentielle post-révolution, certains candidats avaient bien débattu individuellement avec des électeurs, mais jamais tous ensemble et dans un cadre officiel comme cette année.
Autres articles
-
Donald Trump annonce "l'arrêt du délire transgenre" dès son premier jour à la Maison Blanche
-
RDC: au moins 40 morts dans un naufrage dans la province de l'Équateur
-
Brésil: le bilan d'un accident de car au Minas Gerais passe à 41 morts
-
Syrie: le nouveau dirigeant déclare que toutes les armes seront placées sous le contrôle de l'État
-
Quelque 1100 soldats nord-coréens tués ou blessés dans les combats contre les forces ukrainiennes selon la Corée du Sud