Le responsable au programme national de lutte contre la tuberculose au Sénégal, le Docteur Mame Bocar Lo a révélé que: «dans le domaine de la lutte contre la tuberculose, le vaccin que nous avons, bien qu’il soit efficace sur les formes mortelles de la tuberculose de l’enfant, ne protège pas trop contre la tuberculose». Et d’ajouter: «il en est de même des médicaments et de la durée du traitement».
La journée mondiale de la tuberculose célébrée ce mercredi 24 mars a pour thème: «En route contre la tuberculose, Innovons pour agir plus vite». Selon le Docteur Lô, il y a deux mots à retenir: l’innovation en termes de changement par rapport à ce qui doit être fait de mieux dans la gestion contre la tuberculose mais aussi agir vite.
Il a expliqué qu’«il y a un problème d’urgence par rapport à cette maladie». Le responsable au programme national de lutte contre la tuberculose au Sénégal a fait comprendre que: «cette innovation est, cependant, attendue de l’ensemble des acteurs, d’abord des patients pour une meilleure adhésion à leur traitement. Des prestataires pour une bonne éducation des malades pour faire passer les bonnes informations pour aider au diagnostic mais aussi pour les aider à terminer le traitement, de la communauté en général pour un soutien plus actif à ces malades qui souffrent énormément de la stigmatisation ce qui est un frein que ce soit pour le dépistage que ce soit pour ramener ces malades à la guérison».
Mame Bocar Lo a fait savoir que :«la tuberculose est le parent pauvre en matière de financement au niveau mondial et donc les partenaires devraient, de manière plus générale, financer la lutte contre la tuberculose».
Notons, en outre, qu’il y a 11734 cas de tuberculose toutes formes confondues au Sénégal.
La journée mondiale de la tuberculose célébrée ce mercredi 24 mars a pour thème: «En route contre la tuberculose, Innovons pour agir plus vite». Selon le Docteur Lô, il y a deux mots à retenir: l’innovation en termes de changement par rapport à ce qui doit être fait de mieux dans la gestion contre la tuberculose mais aussi agir vite.
Il a expliqué qu’«il y a un problème d’urgence par rapport à cette maladie». Le responsable au programme national de lutte contre la tuberculose au Sénégal a fait comprendre que: «cette innovation est, cependant, attendue de l’ensemble des acteurs, d’abord des patients pour une meilleure adhésion à leur traitement. Des prestataires pour une bonne éducation des malades pour faire passer les bonnes informations pour aider au diagnostic mais aussi pour les aider à terminer le traitement, de la communauté en général pour un soutien plus actif à ces malades qui souffrent énormément de la stigmatisation ce qui est un frein que ce soit pour le dépistage que ce soit pour ramener ces malades à la guérison».
Mame Bocar Lo a fait savoir que :«la tuberculose est le parent pauvre en matière de financement au niveau mondial et donc les partenaires devraient, de manière plus générale, financer la lutte contre la tuberculose».
Notons, en outre, qu’il y a 11734 cas de tuberculose toutes formes confondues au Sénégal.
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