Les étudiants de l’Université Numérique Cheikh Hamidou Kane de Ziguinchor (UNCHK) sont dans une situation de précarité depuis deux mois. Selon L’Organisation nationale de l’assistance juridique et judiciaire (Ona2J), la communauté estudiantine ne reçoit plus la dotation de données mobiles de l’opérateur Orange Sénégal essentielles à la continuité de leur formation.
L’Organisation interpelle directement le ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation Abdourahmane Diouf à résoudre au plus vite cette situation.
« Cela fait deux mois que ces étudiants ne reçoivent plus de dotations de données mobiles de l’opérateur Orange Sénégal, une ressource essentielle pour la continuité de leur formation en ligne », a informé la cellule de communication de l'Ona2j dans le journal Libération.
Cependant, il est important de noter que la plupart des étudiants sont issus de familles modestes et ne peuvent pas supporter les coûts supplémentaires pour accéder aux outils numériques nécessaires à leur éducation.
Néanmoins, « cette situation compromet gravement leur capacité à poursuivre leurs études dans des conditions adéquates », a souligné l'Ona2j dans leur déclaration repris par Libération.
Par ailleurs, l’Organisation nationale de l’assistance juridique et judiciaire appelle Abdourahmane Diouf le ministre de tutelle « à résoudre ce problème de manière rapide et efficace ».
De surcroît, rappelle-t-elle des examens étaient prévus hier mercredi 4 septembre à 8 h 30 dans les Espaces Numériques Ouvert (ENO), or « il est inacceptable que ces étudiants ayant été privés de connexion pendant deux mois, soient tenus maintenant d’apporter leurs propres équipements et modems de connexion », a conclu l’Organisation dirigé par Tom Mbodj.
L’Organisation interpelle directement le ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation Abdourahmane Diouf à résoudre au plus vite cette situation.
« Cela fait deux mois que ces étudiants ne reçoivent plus de dotations de données mobiles de l’opérateur Orange Sénégal, une ressource essentielle pour la continuité de leur formation en ligne », a informé la cellule de communication de l'Ona2j dans le journal Libération.
Cependant, il est important de noter que la plupart des étudiants sont issus de familles modestes et ne peuvent pas supporter les coûts supplémentaires pour accéder aux outils numériques nécessaires à leur éducation.
Néanmoins, « cette situation compromet gravement leur capacité à poursuivre leurs études dans des conditions adéquates », a souligné l'Ona2j dans leur déclaration repris par Libération.
Par ailleurs, l’Organisation nationale de l’assistance juridique et judiciaire appelle Abdourahmane Diouf le ministre de tutelle « à résoudre ce problème de manière rapide et efficace ».
De surcroît, rappelle-t-elle des examens étaient prévus hier mercredi 4 septembre à 8 h 30 dans les Espaces Numériques Ouvert (ENO), or « il est inacceptable que ces étudiants ayant été privés de connexion pendant deux mois, soient tenus maintenant d’apporter leurs propres équipements et modems de connexion », a conclu l’Organisation dirigé par Tom Mbodj.
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