Le ministre français de l'Intérieur Manuel Valls avec son homologue sénégalais Abdoulaye Daouda Diallo après la signature d'un document en vue de développer une coopération pour lutter contre le terrorisme. Photo RFI / Carine Frenk
Les deux hommes se sont ensuite rendus à l’école nationale de police pour une remise de matériel destiné au Plan d’action contre le terrorisme, le PACT. C’est le tout nouveau programme de la coopération française au Sénégal. Sous les yeux des deux ministres, une voiture de police interpelle un suspect, le temps d’une démonstration.
Jean Luc Peduzzi, attaché de sécurité intérieure à l’Ambassade de France l'explique : « La semaine dernière on a eu une action sur les engins explosifs improvisés, c'est-à-dire de déminage. Et à partir de lundi on a une formation PJ, Police judiciaire, qui intervient dans le cadre de ce projet pour former les enquêteurs et les gens qui travaillent sur le renseignement.»
Doté de 700 000 euros (450 millions de francs CFA), le plan d’action contre le terrorisme vise à renforcer les capacités de prévention et de riposte des services sénégalais de Police et de Gendarmerie. Manuel Valls, ministre français de l’Intérieur l'assure : « Le plan d'action, le document que nous avons signé ce matin nécessite à la fois des élements de formation et des échanges d'informations et du renseignement et aussi des élements matériels. Et ce que nous sommes en train de mettre en place aujourd'hui. »
Pour le ministre sénégalais de l’intérieur Abdoulaye Daouda Diallo, ce programme est quelque chose d’important : « Notre gros problème, c'est le fonctionnement. A ce niveau justement on a besoin de beaucoup bouger et d'échanger. Et sur ces deux points nous nous sommes engagés à mutualiser nos forces et surtout à beaucoup travailler ensemble. »
Le plan d’action contre le terrorisme comprend aussi, et c’est nouveau, un volet de formation spécifique de la police judiciaire et des magistrats.
Manuel Valls poursuit ce samedi 16 novembre sa tournée en Côte d'Ivoire avant de se rendre ce samedi soir au Mali puis en Mauritanie.
Source : Rfi.fr
Jean Luc Peduzzi, attaché de sécurité intérieure à l’Ambassade de France l'explique : « La semaine dernière on a eu une action sur les engins explosifs improvisés, c'est-à-dire de déminage. Et à partir de lundi on a une formation PJ, Police judiciaire, qui intervient dans le cadre de ce projet pour former les enquêteurs et les gens qui travaillent sur le renseignement.»
Doté de 700 000 euros (450 millions de francs CFA), le plan d’action contre le terrorisme vise à renforcer les capacités de prévention et de riposte des services sénégalais de Police et de Gendarmerie. Manuel Valls, ministre français de l’Intérieur l'assure : « Le plan d'action, le document que nous avons signé ce matin nécessite à la fois des élements de formation et des échanges d'informations et du renseignement et aussi des élements matériels. Et ce que nous sommes en train de mettre en place aujourd'hui. »
Pour le ministre sénégalais de l’intérieur Abdoulaye Daouda Diallo, ce programme est quelque chose d’important : « Notre gros problème, c'est le fonctionnement. A ce niveau justement on a besoin de beaucoup bouger et d'échanger. Et sur ces deux points nous nous sommes engagés à mutualiser nos forces et surtout à beaucoup travailler ensemble. »
Le plan d’action contre le terrorisme comprend aussi, et c’est nouveau, un volet de formation spécifique de la police judiciaire et des magistrats.
Manuel Valls poursuit ce samedi 16 novembre sa tournée en Côte d'Ivoire avant de se rendre ce samedi soir au Mali puis en Mauritanie.
Source : Rfi.fr
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