L’Agence française de développement (AFD) a signé, ce mardi 28 décembre 2021, avec le ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération une convention de financement d’un montant de 6 millions d’euros, soit 3,9 milliards de FCFA, en subvention, dans le but de soutenir la réalisation d’un projet de protection des ressources en eau de la zone de captage de Pout (Commune située dans la région de Thiès) à travers des solutions fondées sur la nature.
C’était en présence du ministre Amadou HOTT, du représentant du ministère de l’Eau et de l’Assainissement, de Monsieur Philippe LALLIOT, Ambassadeur de France au Sénégal, et de Monsieur Rémy RIOUX, Directeur général du groupe AFD.
« Ce financement contribuera à la préservation des ressources en eau et à l’amélioration de la recharge de nappes de la région de Pout en tenant compte des effets du changement climatique », lit-on dans un communiqué des services de Communication du ministère de l’Économie.
Les ressources en eau souterraines de la zone de Pout, indispensables à la région de Dakar, sont menacées du fait d’une exploitation dont le niveau dépasse très largement la capacité de renouvellement de la nappe, entrainant à terme le risque d’un épuisement de la ressource et d’une augmentation des conflits d’usage.
Aggravée par les effets du changement climatique, la surexploitation de l’aquifère est favorisée par la multiplicité des acteurs intervenant dans la zone de Pout. Le développement d’un cadre de gestion intégrée de la ressource en eau, permettant une concertation de l’ensemble des usagers apparait comme une nécessité, si l’on en croit le département dirigé par Amadou Hott.
Sous la maîtrise d’ouvrage de la Direction générale de la protection et de la gestion de la ressource en eau (DGPRE), le projet sera mis en œuvre sur les 4 communes de Mont-Rolland, Pout, Keur Moussa et Diender, afin de renforcer une gestion intégrée de la ressource par les acteurs du territoire et d’optimiser les prélèvements pour les différents usages.
« Il comprendra des investissements innovants pour la recharge de nappes, basés sur des solutions fondées sur la nature, adossés à un mode de gouvernance de la ressource inédit au Sénégal, le contrat de nappe, fondée sur une approche concertée entre l’ensemble des acteurs concernés et en veillant à la place des femmes dans la mise en œuvre du projet », note le document parvenu à PressAfrik.
Selon les estimations du ministère de l’Economie, « En 10 ans, le montant des engagements de la France au travers de l’AFD en faveur de l’eau, de l’assainissement et de l’environnement-climat, s’élève à plus de 350 millions d’euros, soit près de 230 milliards de FCFA, pour répondre aux objectifs de développement durable et d’émergence inclusive du Sénégal »
C’était en présence du ministre Amadou HOTT, du représentant du ministère de l’Eau et de l’Assainissement, de Monsieur Philippe LALLIOT, Ambassadeur de France au Sénégal, et de Monsieur Rémy RIOUX, Directeur général du groupe AFD.
« Ce financement contribuera à la préservation des ressources en eau et à l’amélioration de la recharge de nappes de la région de Pout en tenant compte des effets du changement climatique », lit-on dans un communiqué des services de Communication du ministère de l’Économie.
Les ressources en eau souterraines de la zone de Pout, indispensables à la région de Dakar, sont menacées du fait d’une exploitation dont le niveau dépasse très largement la capacité de renouvellement de la nappe, entrainant à terme le risque d’un épuisement de la ressource et d’une augmentation des conflits d’usage.
Aggravée par les effets du changement climatique, la surexploitation de l’aquifère est favorisée par la multiplicité des acteurs intervenant dans la zone de Pout. Le développement d’un cadre de gestion intégrée de la ressource en eau, permettant une concertation de l’ensemble des usagers apparait comme une nécessité, si l’on en croit le département dirigé par Amadou Hott.
Sous la maîtrise d’ouvrage de la Direction générale de la protection et de la gestion de la ressource en eau (DGPRE), le projet sera mis en œuvre sur les 4 communes de Mont-Rolland, Pout, Keur Moussa et Diender, afin de renforcer une gestion intégrée de la ressource par les acteurs du territoire et d’optimiser les prélèvements pour les différents usages.
« Il comprendra des investissements innovants pour la recharge de nappes, basés sur des solutions fondées sur la nature, adossés à un mode de gouvernance de la ressource inédit au Sénégal, le contrat de nappe, fondée sur une approche concertée entre l’ensemble des acteurs concernés et en veillant à la place des femmes dans la mise en œuvre du projet », note le document parvenu à PressAfrik.
Selon les estimations du ministère de l’Economie, « En 10 ans, le montant des engagements de la France au travers de l’AFD en faveur de l’eau, de l’assainissement et de l’environnement-climat, s’élève à plus de 350 millions d’euros, soit près de 230 milliards de FCFA, pour répondre aux objectifs de développement durable et d’émergence inclusive du Sénégal »
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