« Il arrive des moments dans la vie d’une nation où toute organisation ou structure qui prétend jouer un rôle important dans la société doit se prononcer. C’est pourquoi l’UMS a choisi de s’adresser à l’opinion nationale et internationale pour expliquer son action et qu’il a qu’un seul but : renforcer la confiance du peuple sénégalais dans le pouvoir judiciaire dont le rôle est primordial pour le fonctionnement équilibré des institutions de la République et la préservation de la paix et de la concorde nationale », tels sont les propos de El Hadji Abou Aziz Seck président de l’Union des magistrats sénégalais (UMS).
Dans son intervention, le président de l’Union des magistrats sénégalais a réaffirmé la nécessité d’une indépendance de l’appareil judiciaire. Pour lui et conformément à leur statut de leur organisation dont le but premier est la défense et l’illustration de l’indépendance de la magistrature telle qu’elle est proclamée par la loi fondamentale, leurs dernières « Assemblées générales réitèrent son attachement profond à une Justice libre et indépendante et engagent l’organisation judiciaire à œuvrer pour l’effectivité au Sénégal d’un pouvoir judiciaire réellement indépendant, jouant pleinement le rôle qui est le sien dans un Etat démocratique ».
« Si le pouvoir judiciaire est indépendant, ce n’est pas seulement les magistrats qui y gagnent. Mais plutôt c’est tout le peuple sénégalais qui en tirera profit », souligne El Hadji Abou Aziz Seck.
En ce qui concerne l’affaire Barthélémy Dias, qu’il n’a pas échappé, Me El Hadj Abou Aziz Seck a été catégorique. « Nous ne traitons pas les personnalités en tant que telles, mais plutôt nous traitons les faits. Dans le cas précis, le juge d’instruction a la latitude de prendre toutes les dispositions nécessaires à la quête de la vérité. Nous l’appelons à jouir de tous ces pouvoirs pour éclairer cette affaire. Il doit faire preuve de diligence dans le traitement du dossier de Barthélémy Dias ».
Pour sauvegarder la paix selon le président de l’Union des magistrats sénégalais, « il faut appeler les acteurs politiques à la raison. Et nous demandons à nos collègues magistrats de travailler en toute indépendance et dans les règles de l’art en respectant le serment du métier ». Car, il n’y a pas de « sénégalais plus digne qu’un autre ».
Pour l’indépendance du pouvoir judiciaire face aux autres pouvoirs (exécutif et législatif), selon El Hadji Abou Aziz Seck, « l’UMS a toujours revendiqué une réforme du système judiciaire qui intègre la suppression des liens de subordination avec le pouvoir exécutif et la gestion transparente de la carrière des magistrats fondée sur le mérite, la compétition et la performance ».
Dans son intervention, le président de l’Union des magistrats sénégalais a réaffirmé la nécessité d’une indépendance de l’appareil judiciaire. Pour lui et conformément à leur statut de leur organisation dont le but premier est la défense et l’illustration de l’indépendance de la magistrature telle qu’elle est proclamée par la loi fondamentale, leurs dernières « Assemblées générales réitèrent son attachement profond à une Justice libre et indépendante et engagent l’organisation judiciaire à œuvrer pour l’effectivité au Sénégal d’un pouvoir judiciaire réellement indépendant, jouant pleinement le rôle qui est le sien dans un Etat démocratique ».
« Si le pouvoir judiciaire est indépendant, ce n’est pas seulement les magistrats qui y gagnent. Mais plutôt c’est tout le peuple sénégalais qui en tirera profit », souligne El Hadji Abou Aziz Seck.
En ce qui concerne l’affaire Barthélémy Dias, qu’il n’a pas échappé, Me El Hadj Abou Aziz Seck a été catégorique. « Nous ne traitons pas les personnalités en tant que telles, mais plutôt nous traitons les faits. Dans le cas précis, le juge d’instruction a la latitude de prendre toutes les dispositions nécessaires à la quête de la vérité. Nous l’appelons à jouir de tous ces pouvoirs pour éclairer cette affaire. Il doit faire preuve de diligence dans le traitement du dossier de Barthélémy Dias ».
Pour sauvegarder la paix selon le président de l’Union des magistrats sénégalais, « il faut appeler les acteurs politiques à la raison. Et nous demandons à nos collègues magistrats de travailler en toute indépendance et dans les règles de l’art en respectant le serment du métier ». Car, il n’y a pas de « sénégalais plus digne qu’un autre ».
Pour l’indépendance du pouvoir judiciaire face aux autres pouvoirs (exécutif et législatif), selon El Hadji Abou Aziz Seck, « l’UMS a toujours revendiqué une réforme du système judiciaire qui intègre la suppression des liens de subordination avec le pouvoir exécutif et la gestion transparente de la carrière des magistrats fondée sur le mérite, la compétition et la performance ».
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