Mardi après-midi, François Hollande a donné son premier discours à la tribune du palais des Nations unies à New York. Lors de la 67e Assemblée, la question de la Syrie a été soulevée par le président des Français devant une Valérie Trierweiler pas vraiment attentive. Veste pied de poule sur top blanc et iPhone à la main, la "first girlfriend" ne s'est toute de même pas permise de tweeter en direct, ouf !
Le soir, Valérie Trierweiler a accompagné François Hollande sur le site de Ground Zero pour saluer la mémoire des victimes du 11 septembre 2001. Le couple présidentiel a également rencontré les expatriés français vivant à New York. Pour ce faire, la journaliste s'était glissée dans son fameux "uniforme" de circonstances marié au même top que le matin même, mais d'une couleur plus chatoyante.
Le mardi matin, avant le discours de son homme, Valérie Trierweiler confiait à "Paris Match" (le magazine pour lequel elle travaille, ndlr) "avoir adoré visiter Invisible Dog", un centre d’art dans une ancienne usine à Brooklyn. Et François Hollande y est allé de sa petite réflexion sur l'élection américaine, toujours au magazine : "Je ne peux rien dire par rapport à Obama, sinon Mitt Romney va s’en servir en disant qu’un socialiste français le soutient."
Aujourd'hui, celle dont le statut n'est toujours pas tranché est conviée, avec les autres femmes de chefs d'Etat, par l'épouse du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon à une visite de la Morgan Library and Museum. Et pendant ce temps-là, Ségolène Royal se rendra à une réunion de l'Internationale socialiste, également à New York. Même si François Hollande et Valérie Trierweiler reprennent un avion en début d'après-midi, le destin est quand même très chatouilleur !
Closer.fr
Le soir, Valérie Trierweiler a accompagné François Hollande sur le site de Ground Zero pour saluer la mémoire des victimes du 11 septembre 2001. Le couple présidentiel a également rencontré les expatriés français vivant à New York. Pour ce faire, la journaliste s'était glissée dans son fameux "uniforme" de circonstances marié au même top que le matin même, mais d'une couleur plus chatoyante.
Le mardi matin, avant le discours de son homme, Valérie Trierweiler confiait à "Paris Match" (le magazine pour lequel elle travaille, ndlr) "avoir adoré visiter Invisible Dog", un centre d’art dans une ancienne usine à Brooklyn. Et François Hollande y est allé de sa petite réflexion sur l'élection américaine, toujours au magazine : "Je ne peux rien dire par rapport à Obama, sinon Mitt Romney va s’en servir en disant qu’un socialiste français le soutient."
Aujourd'hui, celle dont le statut n'est toujours pas tranché est conviée, avec les autres femmes de chefs d'Etat, par l'épouse du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon à une visite de la Morgan Library and Museum. Et pendant ce temps-là, Ségolène Royal se rendra à une réunion de l'Internationale socialiste, également à New York. Même si François Hollande et Valérie Trierweiler reprennent un avion en début d'après-midi, le destin est quand même très chatouilleur !
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