35 experts venant de dix-sept pays africains ont été formés à Dakar aux techniques de diagnostic moléculaire (PCR en temps réel et séquençage) du virus mpox ou variole du singe, rapporte l’APS.
D’après le docteur Abdourahmane Sow, directeur de la santé publique à l’Institut Pasteur de Dakar (IPD) et investigateur de cette formation « après avoir reçu cette formation qui a démarré lundi dernier, les experts “vont rentrer avec des kits réactifs qui vont leur permettre de faire le diagnostic et le séquençage ».
De l’avis de Dr Sow « l’objectif de cet atelier, c’est de nous permettre de mieux nous préparer, donner [aux participants] tous les outils, des compétences techniques, pratiques et théoriques, pour qu’ils puissent rentrer chez eux afin d’avoir les capacités de détecter, de traiter et de contrôler la maladie ».
« […] Pour l’Afrique de l’Ouest, nous avons trois pays qui ont des cas actifs, où la situation est active. C’est le Nigeria, la Côte d’Ivoire et le Liberia. Pour les autres pays, même si on n’a pas de cas, on doit renforcer le système de surveillance. Des cas suspects sont en train d’être reçus, il faut que les gens puissent avoir toutes les capacités à les tester », a-t-il conseillé.
L’atelier régional de formation sur le diagnostic moléculaire du virus de la variole du singe, auquel ils ont pris part, a été clôturé ce vendredi. Il a été organisé en collaboration avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation ouest africaine de la santé (OOAS).
D’après le docteur Abdourahmane Sow, directeur de la santé publique à l’Institut Pasteur de Dakar (IPD) et investigateur de cette formation « après avoir reçu cette formation qui a démarré lundi dernier, les experts “vont rentrer avec des kits réactifs qui vont leur permettre de faire le diagnostic et le séquençage ».
De l’avis de Dr Sow « l’objectif de cet atelier, c’est de nous permettre de mieux nous préparer, donner [aux participants] tous les outils, des compétences techniques, pratiques et théoriques, pour qu’ils puissent rentrer chez eux afin d’avoir les capacités de détecter, de traiter et de contrôler la maladie ».
« […] Pour l’Afrique de l’Ouest, nous avons trois pays qui ont des cas actifs, où la situation est active. C’est le Nigeria, la Côte d’Ivoire et le Liberia. Pour les autres pays, même si on n’a pas de cas, on doit renforcer le système de surveillance. Des cas suspects sont en train d’être reçus, il faut que les gens puissent avoir toutes les capacités à les tester », a-t-il conseillé.
L’atelier régional de formation sur le diagnostic moléculaire du virus de la variole du singe, auquel ils ont pris part, a été clôturé ce vendredi. Il a été organisé en collaboration avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation ouest africaine de la santé (OOAS).
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