Au regard des actes qu’il pose depuis son avènement à la magistrature suprême du Sénégal, le leader de l’APR passe pour être impitoyable dans l'adversité politique. Tous ses potentiels adversaires ont goûté à sa « guillotine » : la prison. Ainsi donc, après le « broyage » de Khalifa Sall, Karim Wade et plus récemment Ousmane Sonko, la machine semble grippée, à jamais. Tout va se conjuguer maintenant au passé. L’heure est à maintenant au futur du pays. « L’avenir du Sénégal dépasse les égos des politiciens » ainsi le soutenait hier dans un entretien accordé à Pessafrik, l’enseignant-chercheur et analyste politique, Abdou Khadre Sanokho.
A présent que la messe est dite, que reste-t-il maintenant à faire. Le Conseil constitutionnel a tranché la poire au milieu. Comme l’on dit dans le jargon juridique : ils ont dit le droit. Et la loi dans son essence reste très sévère. Faut-il aussi saluer le courage des sept sages du Conseil constitutionnel ? N’ont-ils pas tout simplement fait leur travail ?
Pour l’heure, les regards restent tournés vers le Palais. « Un silence bruyant » du côté de l’avenue Léopold Sédar Senghor se fait entendre. De quoi demain sera fait ? C’est-à-dire la suite à donner à cette décision du Conseil constitutionnel.
A présent que la messe est dite, que reste-t-il maintenant à faire. Le Conseil constitutionnel a tranché la poire au milieu. Comme l’on dit dans le jargon juridique : ils ont dit le droit. Et la loi dans son essence reste très sévère. Faut-il aussi saluer le courage des sept sages du Conseil constitutionnel ? N’ont-ils pas tout simplement fait leur travail ?
Pour l’heure, les regards restent tournés vers le Palais. « Un silence bruyant » du côté de l’avenue Léopold Sédar Senghor se fait entendre. De quoi demain sera fait ? C’est-à-dire la suite à donner à cette décision du Conseil constitutionnel.
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