Annoncé comme le choc le plus attendu des 1/8e de finale, ce Allemagne-Angleterre a tenu toutes ses promesses, ce qui n’est jamais évident dans un match à élimination directe. De l’intensité, du football offensif et du drame surtout, il y a tout eu dans ce match qui a mis l’Angleterre au tapis.
D’entrée de jeu, les Allemands, qui avaient tout de même montré de plus belles choses que les Anglais lors du premier tour, prenaient les choses en mains. Ozil, lancé en profondeur sur la droite, tirait en angle fermé sur James, qui détournait la frappe (3e). L’Allemagne développait un jeu précis et en mouvement qui ne tardait pas à donner le tournis à une défense anglaise apathique. Sur un dégagement de Neuer, Klose grillait la politesse à Terry et Upson pour arriver le premier devant James, et le tromper du bout du pied (1-0, 20e). L’attaquant du Bayern manquait d’un rien le doublé sur un splendide service de Müller (31e). Mais dans la foulée, la Mannschaft doublait logiquement la mise par Podsolki, bien décalé par Müller et qui concluait en force en angle fermé (2-0, 32e).
Alors que l’Angleterre était au plus bas, tout allait être bouleversé, ou presque, en quelques minutes. Sur un centre précis de Gerrard, Upson s’élevait plus haut que tout le monde pour devancer Neuer (2-1, 37e). Les joueurs de Fabio Capello étaient récompensés et pensaient bien avoir égalisé sur une frappe flottante de Lampard qui lobait Neuer, tapait la barre et franchissait la ligne, mais l’arbitre de touche ne validait pas le but, à la grande colère des Anglais, tout près de prendre le but assassin en contre par Podolski (38e). Les ralentis télé faisaient mal au trio arbitral, surtout lorsque le franchissement ou non de la ligne de but par un ballon semble être depuis quelques années le seul cas de figure où l’usage de la technologie fait l’unanimité…
Après la pause, le match prenait une nouvelle dimension entre des Anglais motivés pour refaire leur retard, et des Allemands toujours aussi tranchants. Lampard trouvait la barre sur un coup-franc des 20 mètres (52e) et sur le suivant, l’Allemagne repartait pour un contre fatal. Müller effectuait un relais de près de 60 mètres avec Podolski pour tromper James d’une frappe en force de près (3-1, 67e). En état de grâce depuis le début de match, l’attaquant du Bayern Munich enfonçait le clou dès le contre suivant. Ozil grillait la politesse à Barry sur le côté, et servait sur un plateau Müller pour achever les espoirs anglais (4-1, 70e). Les 20 dernières minutes permettaient aux Allemands de s’économiser en vue des quarts de finale, tandis que les Anglais, s’ils ont été quasiment inexistants au niveau du jeu avec notamment des Rooney, Lampard, Gerrard ou Terry bien loin de leur niveau, risquent de se défouler sur les arbitres autant que leurs joueurs.
D’entrée de jeu, les Allemands, qui avaient tout de même montré de plus belles choses que les Anglais lors du premier tour, prenaient les choses en mains. Ozil, lancé en profondeur sur la droite, tirait en angle fermé sur James, qui détournait la frappe (3e). L’Allemagne développait un jeu précis et en mouvement qui ne tardait pas à donner le tournis à une défense anglaise apathique. Sur un dégagement de Neuer, Klose grillait la politesse à Terry et Upson pour arriver le premier devant James, et le tromper du bout du pied (1-0, 20e). L’attaquant du Bayern manquait d’un rien le doublé sur un splendide service de Müller (31e). Mais dans la foulée, la Mannschaft doublait logiquement la mise par Podsolki, bien décalé par Müller et qui concluait en force en angle fermé (2-0, 32e).
Alors que l’Angleterre était au plus bas, tout allait être bouleversé, ou presque, en quelques minutes. Sur un centre précis de Gerrard, Upson s’élevait plus haut que tout le monde pour devancer Neuer (2-1, 37e). Les joueurs de Fabio Capello étaient récompensés et pensaient bien avoir égalisé sur une frappe flottante de Lampard qui lobait Neuer, tapait la barre et franchissait la ligne, mais l’arbitre de touche ne validait pas le but, à la grande colère des Anglais, tout près de prendre le but assassin en contre par Podolski (38e). Les ralentis télé faisaient mal au trio arbitral, surtout lorsque le franchissement ou non de la ligne de but par un ballon semble être depuis quelques années le seul cas de figure où l’usage de la technologie fait l’unanimité…
Après la pause, le match prenait une nouvelle dimension entre des Anglais motivés pour refaire leur retard, et des Allemands toujours aussi tranchants. Lampard trouvait la barre sur un coup-franc des 20 mètres (52e) et sur le suivant, l’Allemagne repartait pour un contre fatal. Müller effectuait un relais de près de 60 mètres avec Podolski pour tromper James d’une frappe en force de près (3-1, 67e). En état de grâce depuis le début de match, l’attaquant du Bayern Munich enfonçait le clou dès le contre suivant. Ozil grillait la politesse à Barry sur le côté, et servait sur un plateau Müller pour achever les espoirs anglais (4-1, 70e). Les 20 dernières minutes permettaient aux Allemands de s’économiser en vue des quarts de finale, tandis que les Anglais, s’ils ont été quasiment inexistants au niveau du jeu avec notamment des Rooney, Lampard, Gerrard ou Terry bien loin de leur niveau, risquent de se défouler sur les arbitres autant que leurs joueurs.
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