Les ressortissants sénégalais vivant en Gambie n’ont plus besoin d’avoir une carte de séjour. En effet, lors de la visite d’amitié et de travail effectué par le Président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade chez son homologue Gambien,Yahya A.J.J JAMMEH, les mardi 5 et mercredi 6 janvier 2010, la Partie gambienne a décidé de lever l’obligation relative à la détention de Carte de séjour pour les ressortissants sénégalais résidant en Gambie. Les deux parties se sont également accordées pour relancer la réalisation du pont sur le fleuve Gambie. D’ores et déjà, elles sont convenues d’en confier la gestion à la partie gambienne.
Ils sont convenues de travailler ensemble, de manière constructive, pour la mise en place du Secrétariat permanent sénégalo-gambien.
Une Commission consultative entre les deux pays sera, par ailleurs convoquée. Ce dernier sera co-présidé par Leurs Excellences Madame la Vice-présidente de la République de Gambie et le Premier Ministre de la République du Sénégal.
Les deux parties se sont accordées sur leur détermination à trouver conjointement une solution à leurs différends frontaliers, à travers la Commission consultative en charge des questions frontalières.
La Partie gambienne et la Partie sénégalaise ont accepté de tenir des consultations périodiques entre les Ministres et les hauts responsables gouvernementaux des deux pays en vue de renforcer leurs relations bilatérales.
La Gambie et le Sénégal ont signé un Accord de coopération en matière de sécurité pour assurer le renforcement de la paix et de la sécurité entre les deux pays et également pour s’assurer qu’aucune des parties n’abrite des dissidents de l’autre pays.
La Gambie et le Sénégal sont sous la pression permanente de l’érosion côtière qui s’attaque à leurs côtes dont elle fait reculer les limites, sans compter l’infiltration de l’eau salée à travers les fissures des couches qui forment le plateau continental, et va très loin à l’intérieur du continent saliniser les nappes phréatiques privant ainsi les populations d’eau potable. L’érosion marine s’attaque, en particulier, aux villes de Saint Louis, Dakar et Banjul.
A cet égard, les deux Chefs d’Etat ont décidé de lancer ensemble un appel à la Communauté internationale, notamment les partenaires traditionnels (le Programme des Nations Unies pour l’Environnement, la Banque mondiale, l’Union Européenne, la France, les pays de l’Organisation de la Conférence islamique, etc….) pour soutenir l’initiative du Mur de l’Atlantique, entreprendre immédiatement des études sur les dangers qui pèsent sur les villes de Saint Louis, Dakar et Banjul ainsi que sur l’Ile de Gorée, et prendre les mesures nécessaires pour arrêter l’érosion marine et sauver ces cités.
Ils sont convenues de travailler ensemble, de manière constructive, pour la mise en place du Secrétariat permanent sénégalo-gambien.
Une Commission consultative entre les deux pays sera, par ailleurs convoquée. Ce dernier sera co-présidé par Leurs Excellences Madame la Vice-présidente de la République de Gambie et le Premier Ministre de la République du Sénégal.
Les deux parties se sont accordées sur leur détermination à trouver conjointement une solution à leurs différends frontaliers, à travers la Commission consultative en charge des questions frontalières.
La Partie gambienne et la Partie sénégalaise ont accepté de tenir des consultations périodiques entre les Ministres et les hauts responsables gouvernementaux des deux pays en vue de renforcer leurs relations bilatérales.
La Gambie et le Sénégal ont signé un Accord de coopération en matière de sécurité pour assurer le renforcement de la paix et de la sécurité entre les deux pays et également pour s’assurer qu’aucune des parties n’abrite des dissidents de l’autre pays.
La Gambie et le Sénégal sont sous la pression permanente de l’érosion côtière qui s’attaque à leurs côtes dont elle fait reculer les limites, sans compter l’infiltration de l’eau salée à travers les fissures des couches qui forment le plateau continental, et va très loin à l’intérieur du continent saliniser les nappes phréatiques privant ainsi les populations d’eau potable. L’érosion marine s’attaque, en particulier, aux villes de Saint Louis, Dakar et Banjul.
A cet égard, les deux Chefs d’Etat ont décidé de lancer ensemble un appel à la Communauté internationale, notamment les partenaires traditionnels (le Programme des Nations Unies pour l’Environnement, la Banque mondiale, l’Union Européenne, la France, les pays de l’Organisation de la Conférence islamique, etc….) pour soutenir l’initiative du Mur de l’Atlantique, entreprendre immédiatement des études sur les dangers qui pèsent sur les villes de Saint Louis, Dakar et Banjul ainsi que sur l’Ile de Gorée, et prendre les mesures nécessaires pour arrêter l’érosion marine et sauver ces cités.
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