L'empennage de l'A330 d'Air France, disparu dans l'Atlantique, débarqué sur le port brésilien de Recife le 14 juin 2009. (© AFP Evaristo Sa)
La Marine et la Force aérienne brésiliennes ont annoncé vendredi qu’elles mettaient fin aux recherches des corps et débris du vol AF447 d’Air France qui s’est abîmé en mer entre Rio et Paris dans la nuit du 31 mai au 1er juin avec 228 personnes à bord, estimant que ce qui pourrait encore être trouvé en mer était «insignifiant».
«Aucun corps n’a été découvert depuis neuf jours», a justifié le lieutenant-colonel Henry Munhoz au cours d’une conférence de presse à Recife (nord-est).
Les opérations, menées avec l’aide de navires français et d’avions espagnols et américains ont permis de repêcher dans les eaux de l’océan Atlantique 51 corps parmi les 228 victimes de l’Airbus A330 d’Air France appartenant à 32 nationalités.
Plus de 600 pièces --corps et débris de l’appareil-- ont été récupérées.
La raison de l’accident est encore indéterminée.
Le Bureau français d’Enquêtes et d’Analyses (BEA), chargé de l’enquête technique sur la disparition de l’Airbus, a annoncé jeudi qu’il présenterait un «premier rapport factuel» le jeudi 2 juillet à Paris.
Les boîtes noires de l’avion, déterminantes pour expliquer les causes du crash, sont en revanche toujours recherchées par la Marine française qui a envoyé sur place des navires et un sous-marin nucléaire. Selon le BEA, ces recherches se poursuivront au-delà du 30 juin, date de fin théorique du signal qu’elles émettent. Les balises auxquelles sont reliés les deux enregistreurs de vol, voix et paramètres techniques, émettent au minimum 30 jours. Mais le BEA a dit avoir bon espoir qu’elles puissent émettre plusieurs jours après cette date théorique.
La France a mobilisé pour la première fois dans ce type d’opérations un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA), l’Emeraude, deux remorqueurs de haute mer tirant des sonars au fond de l’eau, ainsi que le navire d’exploration sous-marine «Pourquoi pas», équipé du sous-marin Nautile et d’un robot.
Source: Libération
«Aucun corps n’a été découvert depuis neuf jours», a justifié le lieutenant-colonel Henry Munhoz au cours d’une conférence de presse à Recife (nord-est).
Les opérations, menées avec l’aide de navires français et d’avions espagnols et américains ont permis de repêcher dans les eaux de l’océan Atlantique 51 corps parmi les 228 victimes de l’Airbus A330 d’Air France appartenant à 32 nationalités.
Plus de 600 pièces --corps et débris de l’appareil-- ont été récupérées.
La raison de l’accident est encore indéterminée.
Le Bureau français d’Enquêtes et d’Analyses (BEA), chargé de l’enquête technique sur la disparition de l’Airbus, a annoncé jeudi qu’il présenterait un «premier rapport factuel» le jeudi 2 juillet à Paris.
Les boîtes noires de l’avion, déterminantes pour expliquer les causes du crash, sont en revanche toujours recherchées par la Marine française qui a envoyé sur place des navires et un sous-marin nucléaire. Selon le BEA, ces recherches se poursuivront au-delà du 30 juin, date de fin théorique du signal qu’elles émettent. Les balises auxquelles sont reliés les deux enregistreurs de vol, voix et paramètres techniques, émettent au minimum 30 jours. Mais le BEA a dit avoir bon espoir qu’elles puissent émettre plusieurs jours après cette date théorique.
La France a mobilisé pour la première fois dans ce type d’opérations un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA), l’Emeraude, deux remorqueurs de haute mer tirant des sonars au fond de l’eau, ainsi que le navire d’exploration sous-marine «Pourquoi pas», équipé du sous-marin Nautile et d’un robot.
Source: Libération
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