Le journaliste écrivain, victime d’un cambriolage de son domicile, le mardi dernier, qui a permis au voleur d’emporter son ordinateur et ses téléphones portables a expliqué comment il a pu retrouver ses documents. «En réalité, un jeune informaticien à qui l’appareil a été transféré pour qu’il fasse un décodage d’un certain nombre de dossiers et également pour qu’il puisse craquer le nouveau système s’en est ouvert à un autre. Et c’est cette autre personne qui, en ouvrant l’ordinateur au premier clic, a vu marquer sur le bureau de l’ordinateur «CV Latif Coulibaly».
Evidemment, comme le vol était dans toutes les langues et dans tous les médias, il a immédiatement appelé son frère pour lui dire qu’il est persuadé que cet ordinateur appartient à Latif», a conté l’auteur des Comptes et Mécomptes de l’ANOCI.
«Le premier réflex qu’ils ont eu, c’est de relever tous les documents qui étaient dans la machine (un contenu de 4 gigas)», note Latif Coulibaly.
«C’est après avoir attendu trois jours pendant lesquels on n’a pas révélé que le matériel a été retrouvé qu’il (informaticien) m’a contacté le vendredi matin en me disant : Monsieur Coulibaly, voilà ce que je peux faire ; j’ai en ma disposition toutes les données de votre machine. Et m’a raconté l’histoire», s’est réjoui Latif qui «lui ai expliqué que la machine, en elle-même, n’était pas importante pour lui mais bien les documents qu’il a sauvés. Et que s’il était en mesure de lui livrer la disquette, il serait l’homme le plus heureux du monde», a-t-il confié. Et c’est dans ces conditions que l’information lui a donné un rendez-vous pour lui restituer les documents qui étaient dans l’ordinateur.
Evidemment, comme le vol était dans toutes les langues et dans tous les médias, il a immédiatement appelé son frère pour lui dire qu’il est persuadé que cet ordinateur appartient à Latif», a conté l’auteur des Comptes et Mécomptes de l’ANOCI.
«Le premier réflex qu’ils ont eu, c’est de relever tous les documents qui étaient dans la machine (un contenu de 4 gigas)», note Latif Coulibaly.
«C’est après avoir attendu trois jours pendant lesquels on n’a pas révélé que le matériel a été retrouvé qu’il (informaticien) m’a contacté le vendredi matin en me disant : Monsieur Coulibaly, voilà ce que je peux faire ; j’ai en ma disposition toutes les données de votre machine. Et m’a raconté l’histoire», s’est réjoui Latif qui «lui ai expliqué que la machine, en elle-même, n’était pas importante pour lui mais bien les documents qu’il a sauvés. Et que s’il était en mesure de lui livrer la disquette, il serait l’homme le plus heureux du monde», a-t-il confié. Et c’est dans ces conditions que l’information lui a donné un rendez-vous pour lui restituer les documents qui étaient dans l’ordinateur.
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