Après avoir passé en revue la gestion de l’Etat par le pouvoir en place, le Jëf-Jëf estime que la gouvernance Wade fait défaut.
Et le bouc-émissaire est vite trouvé. Il s’agit de la gouvernance Wade qui, « à défaut de s’engager dans la résolution des problèmes cruciaux auxquels les Sénégalais sont confrontés nous sert comme à son habitude un spectacle burlesque n’honorant nullement notre pays ». Mais cette attitude n’est pas surprenante aux yeux des camarades de Talla Sylla qui sont convaincus que « Wade se prend pour l’avocat des corrompus qui infestent le cœur de l’Etat et gangrènent notre justice par la faute du système savamment mis en place par les libéraux ».
Le bureau politique est aussi revenu sur la rencontre avortée entre les imams de Guédiawaye et le président Wade. Pour le Jëf-Jël, cette démarche « vise à porter atteinte à leur honorabilité et à les mettre en mal avec une population dont ils sont les guides spirituels et les fidèles défenseurs ».
Le code électoral a aussi été évoqué dans cette rencontre. Le Jël-Jël appelle à une évaluation sans complaisance. « Le Bureau politique réaffirme que toute concertation avec le gouvernement sur le code électoral n’a de sens que si elle porte sur une évaluation sans complaisance devant aboutir à la réforme du système électoral en vue de renforcer la transparence et l’efficacité de notre démocratie » soutient-on.
Aussi, le Jëf-Jël appelle la presse à la prudence parce qu’il estime que les nouveaux rapports que le pouvoir veut tisser avec elle, sont suspects. Ainsi, il appelle au respect des procédures en règle. « L’attitude suspecte du pouvoir libéral envers le monde de la presse prend des allures de manœuvres qui doivent inciter à la prudence et à la responsabilité », dit-on dans le communiqué. C’est la raison pour laquelle « nous exigeons que les règles et procédures soient respectées et que ces organes de presse puissent jouir des droits permettant de mener librement des activités qui du reste relèvent du service public » a relève le bureau politique du Jëf-Jël.
D’ailleurs, le bureau politique estime que les autorités doivent accorder à TFM sa licence et au groupe Sud Communication son terrain en toute conformité avec les règles communes à tous. Il s’offusque de la gestion du dossier d’attribution de la fréquence de télévision qui relève de l’administration. «L’implication de trois ministres de la république pour gérer une situation qui ressort du fonctionnement normal de l’administration est inopportune et constitue une preuve de la mal gouvernance aigue qui prévaut dans notre pays» argumente le bureau politique du Jëf-Jël.
Et le bouc-émissaire est vite trouvé. Il s’agit de la gouvernance Wade qui, « à défaut de s’engager dans la résolution des problèmes cruciaux auxquels les Sénégalais sont confrontés nous sert comme à son habitude un spectacle burlesque n’honorant nullement notre pays ». Mais cette attitude n’est pas surprenante aux yeux des camarades de Talla Sylla qui sont convaincus que « Wade se prend pour l’avocat des corrompus qui infestent le cœur de l’Etat et gangrènent notre justice par la faute du système savamment mis en place par les libéraux ».
Le bureau politique est aussi revenu sur la rencontre avortée entre les imams de Guédiawaye et le président Wade. Pour le Jëf-Jël, cette démarche « vise à porter atteinte à leur honorabilité et à les mettre en mal avec une population dont ils sont les guides spirituels et les fidèles défenseurs ».
Le code électoral a aussi été évoqué dans cette rencontre. Le Jël-Jël appelle à une évaluation sans complaisance. « Le Bureau politique réaffirme que toute concertation avec le gouvernement sur le code électoral n’a de sens que si elle porte sur une évaluation sans complaisance devant aboutir à la réforme du système électoral en vue de renforcer la transparence et l’efficacité de notre démocratie » soutient-on.
Aussi, le Jëf-Jël appelle la presse à la prudence parce qu’il estime que les nouveaux rapports que le pouvoir veut tisser avec elle, sont suspects. Ainsi, il appelle au respect des procédures en règle. « L’attitude suspecte du pouvoir libéral envers le monde de la presse prend des allures de manœuvres qui doivent inciter à la prudence et à la responsabilité », dit-on dans le communiqué. C’est la raison pour laquelle « nous exigeons que les règles et procédures soient respectées et que ces organes de presse puissent jouir des droits permettant de mener librement des activités qui du reste relèvent du service public » a relève le bureau politique du Jëf-Jël.
D’ailleurs, le bureau politique estime que les autorités doivent accorder à TFM sa licence et au groupe Sud Communication son terrain en toute conformité avec les règles communes à tous. Il s’offusque de la gestion du dossier d’attribution de la fréquence de télévision qui relève de l’administration. «L’implication de trois ministres de la république pour gérer une situation qui ressort du fonctionnement normal de l’administration est inopportune et constitue une preuve de la mal gouvernance aigue qui prévaut dans notre pays» argumente le bureau politique du Jëf-Jël.
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