Le chef de l’Etat sénégalais ne se lasse jamais d’appeler à un dialogue politique. Il a, encore fait lors de son discours prononcé à la veille du 50e anniversaire de notre accession à la souveraineté internationale. «Je demeure ouvert au dialogue sans exclusive tel que le dialogue politique avec l’opposition, dans le respect des Institutions et de la diversité de nos choix», a-t-il déclaré de nouveau.
Abdoulaye Wade a indiqué : «nous avons édifié un système politique pluraliste, dont les pratiques et les mécanismes, à force d’être éprouvés, nous ont valu, il y a dix ans, une alternance pacifique enviée, signe d’une démocratie majeure et apaisée». Ces acquis qui, selon lui, ont fait notre fortune en nous mettant à l’abri des tumultes destructeurs pour bien des peuples, relèvent de notre patrimoine national.
Le chef de l’Etat a estimé que «ces mécanismes nous confèrent en même temps, ensemble et solidairement, une responsabilité commune ; celle de rester dignes de notre histoire, d’honorer nos anciens en cultivant les valeurs qu’ils nous ont laissées en héritage pour les transmettre aux générations futures».
Pour ma part, a-t-il argumenté, «en tant que garant au premier chef de l’exigence d’unité et de cohésion nationales, je continuerai d’être au service de notre idéal partagé de vivre ensemble dans la paix et l’harmonie».
Abdoulaye Wade a indiqué : «nous avons édifié un système politique pluraliste, dont les pratiques et les mécanismes, à force d’être éprouvés, nous ont valu, il y a dix ans, une alternance pacifique enviée, signe d’une démocratie majeure et apaisée». Ces acquis qui, selon lui, ont fait notre fortune en nous mettant à l’abri des tumultes destructeurs pour bien des peuples, relèvent de notre patrimoine national.
Le chef de l’Etat a estimé que «ces mécanismes nous confèrent en même temps, ensemble et solidairement, une responsabilité commune ; celle de rester dignes de notre histoire, d’honorer nos anciens en cultivant les valeurs qu’ils nous ont laissées en héritage pour les transmettre aux générations futures».
Pour ma part, a-t-il argumenté, «en tant que garant au premier chef de l’exigence d’unité et de cohésion nationales, je continuerai d’être au service de notre idéal partagé de vivre ensemble dans la paix et l’harmonie».
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