Finalement la liste du nouveau gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye est sortie ce vendredi. Après plusieurs jours d’attente, elle est constituée de 25 ministres et 5 secrétaires d’État.
Pour le ministère des Affaires étrangères et Intégration africaine, c’est madame Yassine Fall qui est nommée à ce poste. De ce que l’on sait d’elle, elle est la vice-présidente chargée des relations internationales au sein de Pastef. Yassine Fall est originaire de la Vallée du Fleuve Sénégal, née à Ndiangué, en plein cœur du Waalo. Fille d’un Imam érudit en islamologie et d’une mère cultivatrice et artisane de teinturerie et de vannerie traditionnelles, elle a passé son enfance à Pikine. Elle fait ses études primaires à l’école Pikine 7 et ses études secondaires au lycée John F. Kennedy et obtient son Baccalauréat avec mention à l’Ecole Normale des Filles de Thiès.
Elle entame ses études universitaires en espagnol à la Faculté des Lettres de l’Université de Dakar pour les interrompre et entreprendre des études en économie à l’Université de Villetaneuse, Paris XIII et à Howard University (Etats Unis) dont elle est titulaire d’un Diplôme Masters Degree en Economie. Elle poursuit, par la suite, ses cours et séminaires de Ph.D (doctorat) en économie à l’Université du Texas mais n’arrive pas à la soutenance de sa thèse parce qu’elle choisit de rentrer au Sénégal pour diriger le bureau régional de l’UNIFEM pour l’Afrique de l’Ouest et du centre basé à Dakar.
Elle a plus de quinze années de service dans le système des Nations Unies durant lesquelles elle a servi comme Directrice de l’institut des Nations Unies pour la Formation et la recherche pour la Promotion de la Femme (INSTRAW) basé en République Dominicaine, Conseillère économique et Directrice régionale de L’UNIFEM pour l’Afrique de l’ouest et du centre. Son dernier poste avant la retraite du système était celui de Directrice de la Division économique à New York.
Avant de rejoindre l’ONU, elle a dirigé pendant treize ans une entreprise internationale de conseil qui a travaillé avec succès avec des agences de développement sur des questions telles que la politique macroéconomique, les programmes d’éradication de la pauvreté, les questions environnementales ; les régimes fonciers et la recherche sur les systèmes de productions agricoles ; l’évaluation des programmes de développement, la reconstruction post-conflit et la gestion des opérations humanitaires d’urgence. Elle parle couramment le wolof, sa langue maternelle, l’anglais, le français et l’espagnol et possède une connaissance de base en portugais.
Mme Fall a conseillé des gouvernements d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud sur l’économie et les stratégies d’élimination de la pauvreté et a contribué à de nombreux rassemblements d’économistes de différentes parties du monde pour apporter des réponses à la quadruple crise alimentaire, énergétique, environnementale et financière.
Pour le ministère des Affaires étrangères et Intégration africaine, c’est madame Yassine Fall qui est nommée à ce poste. De ce que l’on sait d’elle, elle est la vice-présidente chargée des relations internationales au sein de Pastef. Yassine Fall est originaire de la Vallée du Fleuve Sénégal, née à Ndiangué, en plein cœur du Waalo. Fille d’un Imam érudit en islamologie et d’une mère cultivatrice et artisane de teinturerie et de vannerie traditionnelles, elle a passé son enfance à Pikine. Elle fait ses études primaires à l’école Pikine 7 et ses études secondaires au lycée John F. Kennedy et obtient son Baccalauréat avec mention à l’Ecole Normale des Filles de Thiès.
Elle entame ses études universitaires en espagnol à la Faculté des Lettres de l’Université de Dakar pour les interrompre et entreprendre des études en économie à l’Université de Villetaneuse, Paris XIII et à Howard University (Etats Unis) dont elle est titulaire d’un Diplôme Masters Degree en Economie. Elle poursuit, par la suite, ses cours et séminaires de Ph.D (doctorat) en économie à l’Université du Texas mais n’arrive pas à la soutenance de sa thèse parce qu’elle choisit de rentrer au Sénégal pour diriger le bureau régional de l’UNIFEM pour l’Afrique de l’Ouest et du centre basé à Dakar.
Elle a plus de quinze années de service dans le système des Nations Unies durant lesquelles elle a servi comme Directrice de l’institut des Nations Unies pour la Formation et la recherche pour la Promotion de la Femme (INSTRAW) basé en République Dominicaine, Conseillère économique et Directrice régionale de L’UNIFEM pour l’Afrique de l’ouest et du centre. Son dernier poste avant la retraite du système était celui de Directrice de la Division économique à New York.
Avant de rejoindre l’ONU, elle a dirigé pendant treize ans une entreprise internationale de conseil qui a travaillé avec succès avec des agences de développement sur des questions telles que la politique macroéconomique, les programmes d’éradication de la pauvreté, les questions environnementales ; les régimes fonciers et la recherche sur les systèmes de productions agricoles ; l’évaluation des programmes de développement, la reconstruction post-conflit et la gestion des opérations humanitaires d’urgence. Elle parle couramment le wolof, sa langue maternelle, l’anglais, le français et l’espagnol et possède une connaissance de base en portugais.
Mme Fall a conseillé des gouvernements d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud sur l’économie et les stratégies d’élimination de la pauvreté et a contribué à de nombreux rassemblements d’économistes de différentes parties du monde pour apporter des réponses à la quadruple crise alimentaire, énergétique, environnementale et financière.
Autres articles
-
Situation des Sénégalais à Mayotte : ADHA dénonce le silence des autorités et interpelle le Président Diomaye Faye
-
Absence de publication du rapport budgétaire du 3ᵉ trimestre 2024 : Pape Malick Ndour interpelle les autorités
-
Retraite du Conseil Municipal de Dakar : Barth s’engage pour un « Dakar plus inclusif et dynamique »
-
Visite officielle en Gambie : les engagements d’Ousmane Sonko pour le lycée sénégalais de Banjul
-
Affaire Barthélémy Dias : Abdoulaye Diouf Sarr déplore l’arbitrage judiciaire dans les affaires politiques