Il a exprimé des critiques acerbes à l’égard du parti Pastef, notamment de son approche politique et de ses priorités. Selon lui, le Pastef semble plus concentré sur la vengeance personnelle que sur les enjeux réels du pays, tels que le développement économique. "Le Pastef n'a pas le sens des priorités, à part la vengeance", a-t-il affirmé, en faisant référence aux nombreux conflits internes et politiques du parti. Dr Yoro Dia a notamment cité des exemples de personnalités emprisonnées par le pouvoir actuel, comme Lat Diop et Moustapha Diakhaté, qu’il assimile à des symboles de cette politique de vengeance.
En poursuivant sa critique, Yoro Dia a comparé le Pastef à la célèbre galerie Lafayette à Paris, soulignant que le parti semble se concentrer davantage sur les événements médiatiques et les polémiques quotidiennes que sur les défis réels du pays. "Chaque jour, ils ont un événement", a-t-il déploré, suggérant que le Pastef ne se préoccupe pas des vrais problèmes du Sénégal. Selon lui, le pays est à un tournant décisif, et la priorité doit être donnée à l’économie plutôt qu’à des querelles politiques.
"Le pays doit profiter de sa stabilité pour faire du Sénégal, en dix ans, l'économie la plus florissante d'Afrique de l’Ouest", a insisté Yoro Dia. Il estime que le Sénégal, étant l'un des rares îlots de stabilité de la région, dispose d’une occasion unique de se positionner comme un modèle économique sur le continent. "Nous sommes l'ilot le plus stable, nous devrions en profiter", a-t-il souligné, appelant à une mobilisation pour faire croître l’économie nationale.
Il a aussi défendu une opposition plus constructive, plus ancrée dans la civilité et l'urbanité. "J'opte pour le gatsa-gatsa d'idées", a-t-il déclaré, plaçant l'accent sur un dialogue intellectuel et politique apaisé, loin des divisions et de la violence verbale. Ce type d'opposition, selon lui, serait plus bénéfique pour le Sénégal, surtout dans une période où le pays a besoin de cohésion pour affronter les défis socio-économiques.
Concernant la révocation de Barthélémy Dias de l’Assemblée nationale, Yoro Dia a exprimé son désaveu total. Selon lui, cette décision n’est qu’une pure vengeance, sans fondement politique ni moral. "Révoquer Barthélémy Dias n'est que simple vengeance", a-t-il insisté. Il a rappelé que le maire de Dakar a été écarté aussi bien de la mairie que de l'Assemblée nationale en l’espace de deux semaines, une rapidité qui, pour Yoro Dia, n’est motivée par rien d’autre que des rancœurs politiques. Selon lui, Barthélémy Dias représente une menace pour le Pastef, ce qui expliquerait sa révocation.
Enfin, Dr Yoro Dia appelle à un changement de cap pour l’opposition sénégalaise, en soulignant qu'il est plus que temps de se concentrer sur les véritables enjeux du pays : la stabilité, l’économie et le développement. Les querelles et la vengeance n’auront aucun impact positif sur l’avenir du Sénégal, estime-t-il.
En poursuivant sa critique, Yoro Dia a comparé le Pastef à la célèbre galerie Lafayette à Paris, soulignant que le parti semble se concentrer davantage sur les événements médiatiques et les polémiques quotidiennes que sur les défis réels du pays. "Chaque jour, ils ont un événement", a-t-il déploré, suggérant que le Pastef ne se préoccupe pas des vrais problèmes du Sénégal. Selon lui, le pays est à un tournant décisif, et la priorité doit être donnée à l’économie plutôt qu’à des querelles politiques.
"Le pays doit profiter de sa stabilité pour faire du Sénégal, en dix ans, l'économie la plus florissante d'Afrique de l’Ouest", a insisté Yoro Dia. Il estime que le Sénégal, étant l'un des rares îlots de stabilité de la région, dispose d’une occasion unique de se positionner comme un modèle économique sur le continent. "Nous sommes l'ilot le plus stable, nous devrions en profiter", a-t-il souligné, appelant à une mobilisation pour faire croître l’économie nationale.
Il a aussi défendu une opposition plus constructive, plus ancrée dans la civilité et l'urbanité. "J'opte pour le gatsa-gatsa d'idées", a-t-il déclaré, plaçant l'accent sur un dialogue intellectuel et politique apaisé, loin des divisions et de la violence verbale. Ce type d'opposition, selon lui, serait plus bénéfique pour le Sénégal, surtout dans une période où le pays a besoin de cohésion pour affronter les défis socio-économiques.
Concernant la révocation de Barthélémy Dias de l’Assemblée nationale, Yoro Dia a exprimé son désaveu total. Selon lui, cette décision n’est qu’une pure vengeance, sans fondement politique ni moral. "Révoquer Barthélémy Dias n'est que simple vengeance", a-t-il insisté. Il a rappelé que le maire de Dakar a été écarté aussi bien de la mairie que de l'Assemblée nationale en l’espace de deux semaines, une rapidité qui, pour Yoro Dia, n’est motivée par rien d’autre que des rancœurs politiques. Selon lui, Barthélémy Dias représente une menace pour le Pastef, ce qui expliquerait sa révocation.
Enfin, Dr Yoro Dia appelle à un changement de cap pour l’opposition sénégalaise, en soulignant qu'il est plus que temps de se concentrer sur les véritables enjeux du pays : la stabilité, l’économie et le développement. Les querelles et la vengeance n’auront aucun impact positif sur l’avenir du Sénégal, estime-t-il.
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