Dans le grand amphithéâtre de l’Université Hofstra à New York, l’équipe de campagne de Donald Trump répétait encore dimanche soir et ils vont à nouveau travailler ce lundi. Jusqu’au dernier moment, on règle les lumières, les pupitres, on inspecte la salle. Rien n’est laissé au hasard. Les émissaires d’Hillary Clinton et de Donald Trump ne se croiseront pas jusqu’à l’heure du débat.
Mille personnes triées sur le volet seront dans la salle ce soir. Les places sont équitablement partagées entre les états-majors des candidats et une petite proportion d’étudiants ont été tirés au sort. Peter Ewer travaille pour la commission chargée d’organiser les débats : « La ministre Clinton sera sur la droite, et donc Monsieur Trump, pour le public, sera sur le côté gauche. La première question sera adressée à Madame Clinton. Les spectateurs seront mis en garde avant le débat : ils doivent rester silencieux, car nous pensons vraiment qu’ils ne doivent pas intervenir dans le débat. » Près de 7 000 journalistes sont accrédités pour l'événement, c'est dire l'ampleur du show médiatique attendu.
C'est que cepremier débat intervient à un moment crucial de la campagne présidentielle américaine car les récents sondages étant extrêmement serrés. Certes Hillary Clinton est toujours en tête, mais l’avance de la candidate est désormais dans la marge d’erreur. Les sondages se sont intéressés au public qui prévoit de rester devant son écran ce lundi soir : 80 % des électeurs ont répondu qu’ils allaient regarder tout ou une partie de ce débat.
20 % d'indécis
La tension est palpable dans les deux camps. Pour John Gizzi, journaliste républicain et soutien de Donald Trump, ce dernier doit absolument garder son calme. « S’il réussit à montrer aux spectateurs qu’il n’est pas seulement le roi de l’insulte, il apparaîtra comme présidentiel. »
Source: Rfi.fr
Mille personnes triées sur le volet seront dans la salle ce soir. Les places sont équitablement partagées entre les états-majors des candidats et une petite proportion d’étudiants ont été tirés au sort. Peter Ewer travaille pour la commission chargée d’organiser les débats : « La ministre Clinton sera sur la droite, et donc Monsieur Trump, pour le public, sera sur le côté gauche. La première question sera adressée à Madame Clinton. Les spectateurs seront mis en garde avant le débat : ils doivent rester silencieux, car nous pensons vraiment qu’ils ne doivent pas intervenir dans le débat. » Près de 7 000 journalistes sont accrédités pour l'événement, c'est dire l'ampleur du show médiatique attendu.
C'est que cepremier débat intervient à un moment crucial de la campagne présidentielle américaine car les récents sondages étant extrêmement serrés. Certes Hillary Clinton est toujours en tête, mais l’avance de la candidate est désormais dans la marge d’erreur. Les sondages se sont intéressés au public qui prévoit de rester devant son écran ce lundi soir : 80 % des électeurs ont répondu qu’ils allaient regarder tout ou une partie de ce débat.
20 % d'indécis
La tension est palpable dans les deux camps. Pour John Gizzi, journaliste républicain et soutien de Donald Trump, ce dernier doit absolument garder son calme. « S’il réussit à montrer aux spectateurs qu’il n’est pas seulement le roi de l’insulte, il apparaîtra comme présidentiel. »
Source: Rfi.fr
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