Au moment où le débat est agité sur le non recrutement des vacataires cette année, le cadre unitaire des syndicats d’enseignants (cuse) comme le gouvernement explique que le problème n’est pas financier. Car à travers une déclaration dans le cadre de la célébration de la Journée Mondiale des Enseignants ce 05 octobre, le cuse explique que « la masse salariale constitue les 33% du budget du Sénégal donc le seuil des 35% fixé par l’UEMOA n’est pas encore atteint. Il est tout à fait possible de procéder à des augmentations de l’indemnité de logement, de la prime scolaire et de l’indemnité compensatrice de surcharge horaire sans d’ailleurs frôler ce ratio ».
Les syndicalistes de donner des pistes de réflexion au gouvernement, il s’agit « de procéder à une rationalisation des effectifs de la fonction publique par un audit indépendant, de poursuivre la réduction du train de vie toujours dispendieux de l’Etat, de corriger le déséquilibre lié au traitement salarial, entre les autres agents de la fonction publique et les enseignants ».
« Mieux, le nombre d’agents concernés par les revendications est exagéré par l’Etat. Aujourd’hui, tous les audits du personnel de ces dernières années avaient montré que des milliers d’enseignants émargeaient sans qu’on ne puisse les identifier », explique la déclaration, ce qui justifie l’audit annoncé par les autorités mais surtout leur utilisation concrète.
Les syndicalistes de donner des pistes de réflexion au gouvernement, il s’agit « de procéder à une rationalisation des effectifs de la fonction publique par un audit indépendant, de poursuivre la réduction du train de vie toujours dispendieux de l’Etat, de corriger le déséquilibre lié au traitement salarial, entre les autres agents de la fonction publique et les enseignants ».
« Mieux, le nombre d’agents concernés par les revendications est exagéré par l’Etat. Aujourd’hui, tous les audits du personnel de ces dernières années avaient montré que des milliers d’enseignants émargeaient sans qu’on ne puisse les identifier », explique la déclaration, ce qui justifie l’audit annoncé par les autorités mais surtout leur utilisation concrète.
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