«L’interpellation irrégulière et illégale du Frère SGNA et Coordonnateur National du Parti Oumar SARR à son domicile», conduit la Fédération Nationale des Cadres Libéraux (FNCL) «à exprimer toute son indignation face à ce qu’elle qualifie de panique au plus haut sommet de l’Etat causée par la sortie de Lamine Diack, ancien Président de l’IAAF, accusant l’opposition d’alors d’être profondément mouillée dans des scandales de corruption, de blanchiment d’argent et d’enrichissement illicite à l’échelle internationale ». La FNCL s’indigne «des violations et manquements graves utilisés contre le frère Oumar Sarr, pour le prendre à son domicile vers cinq heures du matin, un jour de Samedi pourtant député à l’Assemblée nationale, jouissant d’une immunité parlementaire et protégé par l’Assemblée qui se trouve être en pleine session. Ce qui témoigne encore du manque de considération et de respect vis-à-vis de nos institutions ».
Les cadres libéraux considèrent «cette barbarie d’Etat orchestrée par le régime en place comme une volonté manifeste de casser de l’opposant et absoudre cette situation délétère qui entache l’image du Sénégal et sape les bases de notre démocratie longtemps citée en référence», récusent «toute forme de diversion » et exigent que «l’Etat du Sénégal prenne les dispositions idoines à savoir la libération immédiate et sans conditions du SGNA et Coordonnateur du Parti, Oumar SARR, l’ouverture d’enquêtes parlementaires pour situer les responsabilités de tous et de chacun ». La FNCL interpelle «les organes en charge des questions liées au blanchiment d’argent, à la corruption, à la concussion et à l’enrichissement illicite comme la CENTIF, la Douane, les Impôts et Interpol, pour nous édifier sur les procédures et circuits ayant permis de faire rentrer cette manne financière dans notre pays ».
«Considérant la gravité des propos de Lamine Diack sur l’opposition », ces libéraux demandent «à ce que l’ensemble des partis de l’opposition concernés soient entendus et si nécessaire, traduits devant les juridictions compétentes pour répondre des accusations portées contre eux ». La FNCL «considérant cette forfaiture d’Etat comme un défi lancé non seulement au PDS, mais aussi au peuple tout entier », en appelle «à tous les citoyens, les militants, toutes les sections, les fédérations, les autres partis de l’opposition démocratique, les organisations de défenseurs des droits de l’homme, les leaders d’opinion et l’ensemble des différents segments de la nation soucieux de préserver la paix et attachés à l’Etat de droit et à la viabilité de la République à faire face ».
Les cadres libéraux considèrent «cette barbarie d’Etat orchestrée par le régime en place comme une volonté manifeste de casser de l’opposant et absoudre cette situation délétère qui entache l’image du Sénégal et sape les bases de notre démocratie longtemps citée en référence», récusent «toute forme de diversion » et exigent que «l’Etat du Sénégal prenne les dispositions idoines à savoir la libération immédiate et sans conditions du SGNA et Coordonnateur du Parti, Oumar SARR, l’ouverture d’enquêtes parlementaires pour situer les responsabilités de tous et de chacun ». La FNCL interpelle «les organes en charge des questions liées au blanchiment d’argent, à la corruption, à la concussion et à l’enrichissement illicite comme la CENTIF, la Douane, les Impôts et Interpol, pour nous édifier sur les procédures et circuits ayant permis de faire rentrer cette manne financière dans notre pays ».
«Considérant la gravité des propos de Lamine Diack sur l’opposition », ces libéraux demandent «à ce que l’ensemble des partis de l’opposition concernés soient entendus et si nécessaire, traduits devant les juridictions compétentes pour répondre des accusations portées contre eux ». La FNCL «considérant cette forfaiture d’Etat comme un défi lancé non seulement au PDS, mais aussi au peuple tout entier », en appelle «à tous les citoyens, les militants, toutes les sections, les fédérations, les autres partis de l’opposition démocratique, les organisations de défenseurs des droits de l’homme, les leaders d’opinion et l’ensemble des différents segments de la nation soucieux de préserver la paix et attachés à l’Etat de droit et à la viabilité de la République à faire face ».
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