«La loi qui encadre l’usage du tabac permettra au forces de l’ordre de savoir comment faire une application intelligente. On a fait une enquête nationale qui montre qu’aujourd’hui, 6% de la population sont des fumeurs», a, d'abord, relevé le coordonnateur du programme national de lutte contre le tabac. Dr Oumar BA s'est prononcé en mage d’un atelier d'orientation des forces de l'ordre et de sécurité sur la loi qui encadre l’usage du tabac.
Et d’indiquer que «les milieux urbain et rural sont pratiquement pareils, la seule particularité est qu’il y a beaucoup plus de tabagisme très consistant en milieu rural.
«Des études devraient encore être faites car, le fait est que dès quinze (15) ans, les enfants fument déjà», a-t-il noté. Avant de préciser que cette loi-là, une fois appliquée, va pouvoir protéger les jeunes contre les tentations de tabac vu qu’elle interdit de faire de la publicité ou vendre des produits du tabac aux alentours des écoles.
Selon Dr Oumar BA, «c’est une loi très claire, elle est réglementée depuis la production jusqu’à la commercialisation».
Insistant sur les «dispositions extrêmement importantes», le coordonnateur du programme national de lutte contre le tabac a rappelé qu’ «au niveau des emballages, les paquets vont changer de forme, de présentation». «Vous n’aurez plus ce que vous voyez actuellement: «Abus dangereux pour la santé ». C’est le fait de fumer qui est dangereux déjà. Donc, on va les rectifier en mettant des photos de maladies que le tabac cause», a-t-il précisé.
«La publicité (étant) la deuxième chose que la loi interdit», le Dr Oumar BA a tenu à souligner que «quel que soit le média utilisé, (la loi) règlemente aussi la commercialisation aux alentours des structures de santé et tout cela, ce sont des démarches logiques». Avant de parler d’un autre dispositif à savoir l’interdiction de fumer dans les lieux publics.
«Des sanctions pécuniaires et pénales sont prévues pour celui qui ne respectera pas cette loi», a-t-il prévenu dans les colonnes de «Libération».
Au sujet de la fermeture des industries du tabac, le Docteur a toutefois tempéré: «Chaque pays est libre d'interdire. Ce qui est sûr est que l'Etat du Sénégal a réglementé une loi, et c'est à nous de veiller à ce qu'elle soit comprise et appliquée dans l'intérêt des personnes».
Et d’indiquer que «les milieux urbain et rural sont pratiquement pareils, la seule particularité est qu’il y a beaucoup plus de tabagisme très consistant en milieu rural.
«Des études devraient encore être faites car, le fait est que dès quinze (15) ans, les enfants fument déjà», a-t-il noté. Avant de préciser que cette loi-là, une fois appliquée, va pouvoir protéger les jeunes contre les tentations de tabac vu qu’elle interdit de faire de la publicité ou vendre des produits du tabac aux alentours des écoles.
Selon Dr Oumar BA, «c’est une loi très claire, elle est réglementée depuis la production jusqu’à la commercialisation».
Insistant sur les «dispositions extrêmement importantes», le coordonnateur du programme national de lutte contre le tabac a rappelé qu’ «au niveau des emballages, les paquets vont changer de forme, de présentation». «Vous n’aurez plus ce que vous voyez actuellement: «Abus dangereux pour la santé ». C’est le fait de fumer qui est dangereux déjà. Donc, on va les rectifier en mettant des photos de maladies que le tabac cause», a-t-il précisé.
«La publicité (étant) la deuxième chose que la loi interdit», le Dr Oumar BA a tenu à souligner que «quel que soit le média utilisé, (la loi) règlemente aussi la commercialisation aux alentours des structures de santé et tout cela, ce sont des démarches logiques». Avant de parler d’un autre dispositif à savoir l’interdiction de fumer dans les lieux publics.
«Des sanctions pécuniaires et pénales sont prévues pour celui qui ne respectera pas cette loi», a-t-il prévenu dans les colonnes de «Libération».
Au sujet de la fermeture des industries du tabac, le Docteur a toutefois tempéré: «Chaque pays est libre d'interdire. Ce qui est sûr est que l'Etat du Sénégal a réglementé une loi, et c'est à nous de veiller à ce qu'elle soit comprise et appliquée dans l'intérêt des personnes».
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