S'il y a une déclaration qui a tenu en halène, la Cour, c'est peut-être ce lui de Me Borso Pouye. Pour justifier sa présence dans la salle d'audience après le boycott des avocats de Karim Wade, elle dira que je n'étais pas au courant de l'incident. Mais coup du hasard, elle renseigne la Cour qu'elle a assistée à l'humiliation de son client. « J'ai assisté à une scène qui m'a complètement perturbée. Moi-même j'avais les larmes aux yeux» indique Me Pouye.
Aux propos poignants de son avocat, Karim Wade qui se trouve derrière lui n'a pas pu s'empêcher de verser des larmes. « Nous n'y sommes pour rien », s'est d'défendu Henri Grégoire Diop. Très endurant depuis le début du procès, se tenant toujours debout, Karim Wade a demandé hier l'autorisation de s'asseoir après sa déconvenue avec les gardes. « Je peux m'asseoir ? Je suis blessé au genou », demande-t-il au juge.
Le président de la Cour, revenant sur l'incident a rappelé au célèbre détenu : « Lorsque vous êtes détenu, vous devez être à la disposition de la Cour. Vous êtes obligé par la loi de vous présenter ». A son tour, Karim Wade s'est inscrit en faux contre les déclarations du président de la Cour qui le culpabilisent.
Karim Wade, dans les colonnes du journal « L'As », « je me suis fait agresser et tabasser par les gardes dans le box des prévenus », a révélé le fils de l'ancien Président avant de poursuivre : « C'est la première fois que je suis menotté et jeté par terre », ajoute-t-il. Karim Wade a rassuré le président de la Cour qu'il ne va pas porter plainte contre ses bourreaux de gardes.
Aux propos poignants de son avocat, Karim Wade qui se trouve derrière lui n'a pas pu s'empêcher de verser des larmes. « Nous n'y sommes pour rien », s'est d'défendu Henri Grégoire Diop. Très endurant depuis le début du procès, se tenant toujours debout, Karim Wade a demandé hier l'autorisation de s'asseoir après sa déconvenue avec les gardes. « Je peux m'asseoir ? Je suis blessé au genou », demande-t-il au juge.
Le président de la Cour, revenant sur l'incident a rappelé au célèbre détenu : « Lorsque vous êtes détenu, vous devez être à la disposition de la Cour. Vous êtes obligé par la loi de vous présenter ». A son tour, Karim Wade s'est inscrit en faux contre les déclarations du président de la Cour qui le culpabilisent.
Karim Wade, dans les colonnes du journal « L'As », « je me suis fait agresser et tabasser par les gardes dans le box des prévenus », a révélé le fils de l'ancien Président avant de poursuivre : « C'est la première fois que je suis menotté et jeté par terre », ajoute-t-il. Karim Wade a rassuré le président de la Cour qu'il ne va pas porter plainte contre ses bourreaux de gardes.
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