Le Directeur du centre de guidance infantile et familial (Cegid), a soulevé que : « C’est ahurissant, depuis plus d’une dizaine d’année, ont fait une alerte en disant au pouvoir public que notre société est en crise, conduisant à de situations hors de commun telle que l’ampleur des violences sexuelles sur les enfants en particulier », relate Serigne Mor Mbaye, qui reste convaincu que cela n’est qu’une estimation. « Quand on parle de 3000 cas, il faut compter 10 000 parce que, tout le monde n’accède pas à une maison de justice, au tribunal non plus. S’y ajoute encore la dissimilation car peu de violence sexuelles sont dénoncées », souligne-t-il.
Pour mieux assister ces victimes, pour que les certificats médicaux puissent se faire correctement, le Cegid réfléchit sur l’organisation d’une grande conférence nationale de consensus sur un protocole médical de prise en charge. L’Objectif de l’atelier a été surtout pour le professeur Serigne Mor Mbaye d’appeler les journalistes à mieux recevoir le traitement qu’ils accordent aux violences sexuelles. «Il y a des traitements de faits d’abus sexuels à caractère carrément pornographique. Les termes qui sont utilisés ne sont pas vulgaires. On décrit une scène de crime comme si on y était et quelques fois, on stigmatise la victime en termes de données en allant jusqu’à décliner son identité, son lieu d’habitation ». C’est du moins le constat de ce psychothérapeute dans le traitement des articles de presse. Il invite les hommes de médias à rester surtout des journalistes, à accompagner le peuple, rapporte «Libération».
Pour mieux assister ces victimes, pour que les certificats médicaux puissent se faire correctement, le Cegid réfléchit sur l’organisation d’une grande conférence nationale de consensus sur un protocole médical de prise en charge. L’Objectif de l’atelier a été surtout pour le professeur Serigne Mor Mbaye d’appeler les journalistes à mieux recevoir le traitement qu’ils accordent aux violences sexuelles. «Il y a des traitements de faits d’abus sexuels à caractère carrément pornographique. Les termes qui sont utilisés ne sont pas vulgaires. On décrit une scène de crime comme si on y était et quelques fois, on stigmatise la victime en termes de données en allant jusqu’à décliner son identité, son lieu d’habitation ». C’est du moins le constat de ce psychothérapeute dans le traitement des articles de presse. Il invite les hommes de médias à rester surtout des journalistes, à accompagner le peuple, rapporte «Libération».
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