Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
Le délégué général à l'organisation du 15e Sommet de la Francophonie, Jacques Habib Sy, a souligné que le Centre international de conférence de Dakar (CICD) est prêt pour accueillir cette rencontre qui aura lieu à Dakar à partir du 29 novembre prochain. « Comme vous le constatez, le CICD est déjà opérationnel, fonctionne. Nous avons mis en chantier toutes les fonctionnalités, fait toutes les vérifications d'usage avec nos partenaires techniques. Et nous allons signer le document qui consacrera la remise à titre provisoire des clefs du centre », a déclaré Jacques Habib Sy.
Avant de poursuivre sur le « fait que le CICD soit la première pièce d'un puzzle qui est plus large. C'est-à-dire le plan urbain de Diamniadio, fait que ceux qui construisent le CICD ont la responsabilité de mettre en place le mécanisme qui permet aux eaux usées et de ruissellement de pouvoir être traitées à partir d'une usine de traitement des eaux ».
Interpellé sur les mesures que l'Etat du Sénégal envisage de mettre en place pour faire face à tout cas éventuel de virus Ebola, Jacques Habib s'est dit rassuré par les mesures prises à cet effet par le ministre de la Santé et de l'Action sociale, Awa Marie Coll Seck. « Ebola est une maladie à laquelle font face des pays (ouest-africains). N'importe quel autre pays dans le monde aurait pu faire face à cette maladie. Jusqu'ici, le Sénégal, à l'image de la France ou des Etats-Unis, n'a fait face qu'à un seul cas importé, que nous avons réussi à soigner grâce à une expertise locale », a-t-il expliqué.
Toujours suivant ses propos, « l'Organisation mondiale de la santé a sorti un communiqué dans lequel elle a indiqué que le Sénégal était hors Ebola. Concernant le Sommet de la francophonie, le ministre de la Santé et de l'Action sociale a pris des mesures pour qu'il n'y ait pas éruption de la maladie au cours du sommet ».
« Le déroulé exact de la cérémonie d'ouverture sera précisée à Paris lors des dernières réunions des instances de l'OIF à partir de ce 22 octobre », a déclaré M. Diouf du protocole Présidentiel. Suivez les vidéos :
Avant de poursuivre sur le « fait que le CICD soit la première pièce d'un puzzle qui est plus large. C'est-à-dire le plan urbain de Diamniadio, fait que ceux qui construisent le CICD ont la responsabilité de mettre en place le mécanisme qui permet aux eaux usées et de ruissellement de pouvoir être traitées à partir d'une usine de traitement des eaux ».
Interpellé sur les mesures que l'Etat du Sénégal envisage de mettre en place pour faire face à tout cas éventuel de virus Ebola, Jacques Habib s'est dit rassuré par les mesures prises à cet effet par le ministre de la Santé et de l'Action sociale, Awa Marie Coll Seck. « Ebola est une maladie à laquelle font face des pays (ouest-africains). N'importe quel autre pays dans le monde aurait pu faire face à cette maladie. Jusqu'ici, le Sénégal, à l'image de la France ou des Etats-Unis, n'a fait face qu'à un seul cas importé, que nous avons réussi à soigner grâce à une expertise locale », a-t-il expliqué.
Toujours suivant ses propos, « l'Organisation mondiale de la santé a sorti un communiqué dans lequel elle a indiqué que le Sénégal était hors Ebola. Concernant le Sommet de la francophonie, le ministre de la Santé et de l'Action sociale a pris des mesures pour qu'il n'y ait pas éruption de la maladie au cours du sommet ».
« Le déroulé exact de la cérémonie d'ouverture sera précisée à Paris lors des dernières réunions des instances de l'OIF à partir de ce 22 octobre », a déclaré M. Diouf du protocole Présidentiel. Suivez les vidéos :
Autres articles
-
L’Afrique subsaharienne représente 50% des besoins de financement (PAM)
-
Économie bleue : le ministre Abdourahmane Sarr présente le compact régional du MCC dans le cadre de la Vision Sénégal 2050
-
La COJAPIS réclame des assises nationales pour résoudre la crise du secteur de la pêche
-
Saint-Louis : célébration du "Magalu Ndamli" du 27 au 30 novembre
-
Guinée Conakry: la Compagnie Air Sénégal poursuivie pour escroquerie et abus de confiance
L’Afrique subsaharienne représente 50% des besoins de financement (PAM)
