On pouvait penser qu'en portant la nouvelle sur la place publique, le ministère de l'Éducation nationale allait s'attirer les foudres des syndicalistes qui ne manquent pas une occasion de jeter l'opprobre sur leur tutelle. Pourtant que non.
En effet, même si le satisfecit n'est pas total, le ministre de l'Éducation nationale Serigne Mbaye Thiam qui a déclaré ce vendredi que 690 élèves-maitres ont été admis frauduleusement au concours, peut compter sur le soutien d'une bonne frange des syndicats dont l'Uden et le Sudes qui ont qualifié l'acte de courageux.
Les parents d'élèves aussi sont aussi d'avis que le ministre a pris ses responsabilités et que de telles pratiques ne doivent pas rester impunies. D'ailleurs, ils demandent même que les investigations soient poussées jusqu'au bout et que les fautifs soient sanctionnés.
« Il y a deux corps où il ne devrait pas y avoir ces pratiques : c'est l'éducation et la santé. Nous disons bravo au ministre qui a eu le courage de dénoncer et de relever des agents présumés coupables » déclare le Président de la Fédération Nationale des Associations de Parents d'élèves Bakary Badiane. Pour Badiane, le mal se guérit à la racine. Il préconise de vérifier la responsabilité des correcteurs et autres membres du jury du concours.
Les syndicats ont aussi embouché la même trompette en se félicitant de l'acte posé par le ministre. « La qualité des ressources humaines est très importante. Nous appuyons les actions initiées par le ministre. Qu'il aille jusqu'au bout s'est réjouie Awa Wade de l'Uden. Son collègue Amadou Diouné du Sudes d'enfoncer le clou. « Il faut assainir. Les investigations ne doivent pas s'arrêter » peste le syndicaliste.
En effet, même si le satisfecit n'est pas total, le ministre de l'Éducation nationale Serigne Mbaye Thiam qui a déclaré ce vendredi que 690 élèves-maitres ont été admis frauduleusement au concours, peut compter sur le soutien d'une bonne frange des syndicats dont l'Uden et le Sudes qui ont qualifié l'acte de courageux.
Les parents d'élèves aussi sont aussi d'avis que le ministre a pris ses responsabilités et que de telles pratiques ne doivent pas rester impunies. D'ailleurs, ils demandent même que les investigations soient poussées jusqu'au bout et que les fautifs soient sanctionnés.
« Il y a deux corps où il ne devrait pas y avoir ces pratiques : c'est l'éducation et la santé. Nous disons bravo au ministre qui a eu le courage de dénoncer et de relever des agents présumés coupables » déclare le Président de la Fédération Nationale des Associations de Parents d'élèves Bakary Badiane. Pour Badiane, le mal se guérit à la racine. Il préconise de vérifier la responsabilité des correcteurs et autres membres du jury du concours.
Les syndicats ont aussi embouché la même trompette en se félicitant de l'acte posé par le ministre. « La qualité des ressources humaines est très importante. Nous appuyons les actions initiées par le ministre. Qu'il aille jusqu'au bout s'est réjouie Awa Wade de l'Uden. Son collègue Amadou Diouné du Sudes d'enfoncer le clou. « Il faut assainir. Les investigations ne doivent pas s'arrêter » peste le syndicaliste.
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