Les condamnations et indignations ne désemplissent pas. Le président Sénégalais, Macky Sall en décidant de reporter l'élection présidentielle au 15 décembre de cette année s'est mis une partie de l'opinion internationale sur le dos. La CEDEAO, la France, l'Allemagne et le département d'Etat américain, tous sans porter de gang ont, fermement, critiqué le chef de l'Etat.
Le bureau des droits de l'homme des Nations Unies a elle aussi condamné l'attitude des autorités sénégalaises. Qui est de reporter l'élection présidentielle de 10 mois. " Les autorités Sénégalaises devraient organiser l'élection présidentielle de ce mois-ci comme prévu au lieu de la retarder à 10 mois", a déclaré ce mardi le bloc régional de l'Afrique de l'Ouest.
Dans la même veine, le bureau des droits de l'hommes des Nations Unies a fait part de sa préoccupation. Selon l'associated Press, cette branche de l'organisation des Nations Unies, par la voix de son porte-parole Liz Throssel s'est dit préoccupée par " la décision sans précédent prise dans l'un des pays, où les démocraties sont plus stables d'Afrique".
Pour l'heure le report de l'élection présidentielle, décision prise par les autorités sénégalaises, rencontre des vagues de protestations, d'indignations et de condamnations. Macky Sall dans son argumentaire a évoqué et invoqué un différend électoral entre le Parlement et le Conseil Constitutionnel. Dont deux des magistrats sont accusés de corruption par des députés du PDS.
Le bureau des droits de l'homme des Nations Unies a elle aussi condamné l'attitude des autorités sénégalaises. Qui est de reporter l'élection présidentielle de 10 mois. " Les autorités Sénégalaises devraient organiser l'élection présidentielle de ce mois-ci comme prévu au lieu de la retarder à 10 mois", a déclaré ce mardi le bloc régional de l'Afrique de l'Ouest.
Dans la même veine, le bureau des droits de l'hommes des Nations Unies a fait part de sa préoccupation. Selon l'associated Press, cette branche de l'organisation des Nations Unies, par la voix de son porte-parole Liz Throssel s'est dit préoccupée par " la décision sans précédent prise dans l'un des pays, où les démocraties sont plus stables d'Afrique".
Pour l'heure le report de l'élection présidentielle, décision prise par les autorités sénégalaises, rencontre des vagues de protestations, d'indignations et de condamnations. Macky Sall dans son argumentaire a évoqué et invoqué un différend électoral entre le Parlement et le Conseil Constitutionnel. Dont deux des magistrats sont accusés de corruption par des députés du PDS.
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