Le membre du comité de régulation des différends de l’Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP), Abdel Kader Ndiaye est d’avis qu’il n’y a plus d’«impartialité, de transparence et d’équité» au sein de leur agence. Une raison suffisante pour le pousser à démissionner, ce mercredi 21 septembre, de toutes ses fonctions.
D’abord «les valeurs et principes sont aujourd’hui menacées depuis l’avènement du nouveau président» avance Abdoul Kader Ndiaye dans L’Observateur. Ensuite, «il y a une hégémonie du président sur les prérogatives de l’autorité de régulation», alors que «les procès-verbaux ne sont pas transmis, les résolutions sont remises en question et ne sont pas suivies». Enfin la procédure de marché « est un détournement de procédure, mais c’est un acte irrégulier».
M. Ndiaye d’expliquer: «l’AGEROUTE fait l’objet d’un avis favorable dans une procédure, par la direction de contrôles des marchés publics qui est une instance chargée du contrôle à priori. Il n’est pas du devoir de l’autorité contractante, dans un délai de trois jours, d’attaquer la décision en recours». Malheureusement, dit-il, « elle ne l’a pas fait». Pour lui «avant de rendre une décision, il faut que le procès-verbal qui fait l’objet soit signé par tous les membres».
D’abord «les valeurs et principes sont aujourd’hui menacées depuis l’avènement du nouveau président» avance Abdoul Kader Ndiaye dans L’Observateur. Ensuite, «il y a une hégémonie du président sur les prérogatives de l’autorité de régulation», alors que «les procès-verbaux ne sont pas transmis, les résolutions sont remises en question et ne sont pas suivies». Enfin la procédure de marché « est un détournement de procédure, mais c’est un acte irrégulier».
M. Ndiaye d’expliquer: «l’AGEROUTE fait l’objet d’un avis favorable dans une procédure, par la direction de contrôles des marchés publics qui est une instance chargée du contrôle à priori. Il n’est pas du devoir de l’autorité contractante, dans un délai de trois jours, d’attaquer la décision en recours». Malheureusement, dit-il, « elle ne l’a pas fait». Pour lui «avant de rendre une décision, il faut que le procès-verbal qui fait l’objet soit signé par tous les membres».
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