Monsieur Diallo est frustré, le cœur meurtri par les séries d’agressions de vols qui tournent mal car le plus souvent suivi de mort d’hommes. Gérant d’un service de transfert d’argent ce sénégalais quinqua à peur pour sa vie tout simplement.
« Les lunettes bien visées dans son petit bureau ou il délivre les services pour les transferts et retraits d’argent, Mr Diallo se dit ulcéré mais aussi très peur, lui qui brasse des sommes importantes en longueur de journée. J’ai vraiment peur pour mon pays, pour moins que rien on vous tue. Avant d’invoquer des prières de protection « Dieu nous préserve de ces horreurs », mais j’ai peur. Avant d’embrailler vous vous rendez compte récemment une bande de jeunes armés de coupe-coupe a agressé une fille qui venait juste de faire une transaction financière dans mon service heureusement qu’ils lui ont rien fait à part lui soutirer tout son argent de même que son téléphone portable. En tout cas nous ne sommes plus en sécurité », lance-t-il.
La peur au ventre
Et, comme pour appuyer la thèse de cet homme, Ndèye Bineta Ndiaye étudiante en Sciences naturelles à l’Ucad et habitante de la Geule-Tapée, une tablette entre les mains habillée en leggins noirs ces sortes de bas très serrés qui fait jaillir toutes les rondeurs de la jeune étudiante, le teint éclaircis, Bineta, a elle aussi peur. Elle est emportée par ce vent de panique qui balaie la capitale mais uniquement Dakar, tout le pays.
« Moi je n’ose plus marcher à certaines heures même les révisions la nuit je préfère les faire dans ma chambre car dès je sors la nuit surtout au niveau du canal 4 de la Gueule-Tapée je ne n’arrive plus à tenir sur mes frêles jambes. Je panique et il suffit de me toucher ou de me héler pour que je m’évanouisse simplement. La peur m’a gagné, ma cousine me conseille tout le temps de garder mon sang froid, devant des tueurs froids qui n’hésitent pas non seulement à vous dépouiller de tous vos biens avant de vous tuer. C’est cela qui me fait peur. Je peux leur donner tout ce que j’ai, pourvu qu’ils me laissent en vie. En tout cas je demande à l’Etat du Sénégal de ramener la paix et la quiétude, notre pays vit une situation cruciale avec ces meurtres », alerte la jeune étudiante.
La remède Bineta pour conjurer le mauvais sort des meurtres
En bon talibé tidiane Bineta se rappelle des paroles de soon guide religieux « Vous vous souvenez des propos avant-gardistes du Khalife général des Tidjanes Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy qui avait invité les sénégalais à faire des prières pour conjurer le mauvais sort mais c’est comme si nous avions rien attendu. Il est grand temps qu’on s’y attèle, invite cette étudiante qui à force d’invoquer le meurtre de Mazine Chakiri finit par avoir le trémolo dans la voix. Je suis vraiment attristée par son décès, un étudiant en année de thèse pour qui connaissent les études très longues et difficiles en Médecine, je suis vraiment touchée par son décès tragique », confie cette jeune dame avec un regard qui se fixe dans le vide de l’horizon de cet après-midi à la Gueule-Tapée.
Il faut la loi du Talion : œil pour œil et dent pour dent
« Non, il faut les tuer, ces agresseurs qui tuent sans pitié les gens pour leur détrousser. Ce n’est pas normal. Vous vous imaginez, un honnête citoyen qui se tue à la tâche pour gagner de quoi vivre honnêtement on le tue comme ça, sans rien, avec le geste des mains qui accompagne la parole. Monsieur Camara la concentration gagnée par un jeu sur son smartphone, ce père de famille est pour le retour de la peine de mort qu’on les tue comme ils n’hésitent pas à tuer. Assis avec des amis devant une maison de la Gueule Tapée pour ces domiciles ou la cour donne sur la rue vue l’étroitesse des maisons. Camara et ses amis causent sur le meurtre de l’étudiant marocain mais aussi la dernière nouvelle, l’arrestation de cinq des six agresseurs. Pas seulement, ils parlent aussi des séries de cambriolages de meurtres pour enfin faire le décompte macabre. Non ça n’existait pas dans Dakar. Tout cela, ces agressions, meurtres vols et autres phénomènes de banditismes, ça fait peur. Avant de raconter la mésaventure d’un de ses voisins qui a été agressé par des bandits qui étaient sur scooter », souligne ce père de famille.
La hantise des motos scooters
Sur l’autre ruelle qui mène vers Soumbédioune dans ces petites artères que les voitures et autres motos partagent avec les piétons et l’insouciance des enfants qui s’adonnent à leur jeu favori, le football, nous rencontrons la dame Ngoné, teint noir, habillée en tenue de ville bleue renforcée par une costume pour faire face à la vague de fraicheur du soir dans ce quartier située à quelques mètres de l’océan atlantique. Ngoné a fini de perdre sa quiétude quand elle voit un scooter. Ma hantise maintenant ce sont les scooters. Dés je les vois je m’éloigne très vite et très loin de la chaussée pour ne pas être victime de ces bandits qui s’adonnent au vol à l’arrachée. Cette jeune dame à la forme généreuse qui pulvérise les records de beauté sur un plancher de défilé a peur mais garde son sang-froid. Il faut prier Dieu qu’Il nous préserve de tout ça. Elle invite tout de même l’Etat à durcir les sanctions et à renforcer la sécurité », conclut-elle.
La police veille au grain
Comme le dit un adage que « le voleur a toujours une longueur d’avance sur le gendarme », mais la police veille au grain et suit les traces de ces malfaiteurs et autres bandits qui sèment la terreur.
Des opérations de sécurisation sont effectuées sur le terrain, au niveau du Canal 4 qui mène vers la Corniche Ouest, des policiers en civils comme en tenu mènent une opération d’identification. Tout est passé au peigne fin les taxis, motos, véhicules particulier et autres. Même les passagers sont invités à décliner leur identité.
Des opérations de sécurisation qui donnent des résultats avec l’arrestation d’une dizaine de malfaiteurs dont la bande des agresseurs qui a tué l’étudiant marocain mais aussi de Mansour Diop alias Thialé qui avait évadé de prison en 2015 lors de l’évasion de Boy Djinné. Face à la presse pour revenir sur ces séries d’agressions de braquages ou de vols. Selon cette entité de la police nationale, la sécurité sera mieux renforcée. « Les motos seront soumises à une immatriculation pour plus de sécurité et les patrouilles seront accentuées », déclare le Sergent Henry Boumi Ciss ce mardi.
« Les lunettes bien visées dans son petit bureau ou il délivre les services pour les transferts et retraits d’argent, Mr Diallo se dit ulcéré mais aussi très peur, lui qui brasse des sommes importantes en longueur de journée. J’ai vraiment peur pour mon pays, pour moins que rien on vous tue. Avant d’invoquer des prières de protection « Dieu nous préserve de ces horreurs », mais j’ai peur. Avant d’embrailler vous vous rendez compte récemment une bande de jeunes armés de coupe-coupe a agressé une fille qui venait juste de faire une transaction financière dans mon service heureusement qu’ils lui ont rien fait à part lui soutirer tout son argent de même que son téléphone portable. En tout cas nous ne sommes plus en sécurité », lance-t-il.
La peur au ventre
Et, comme pour appuyer la thèse de cet homme, Ndèye Bineta Ndiaye étudiante en Sciences naturelles à l’Ucad et habitante de la Geule-Tapée, une tablette entre les mains habillée en leggins noirs ces sortes de bas très serrés qui fait jaillir toutes les rondeurs de la jeune étudiante, le teint éclaircis, Bineta, a elle aussi peur. Elle est emportée par ce vent de panique qui balaie la capitale mais uniquement Dakar, tout le pays.
« Moi je n’ose plus marcher à certaines heures même les révisions la nuit je préfère les faire dans ma chambre car dès je sors la nuit surtout au niveau du canal 4 de la Gueule-Tapée je ne n’arrive plus à tenir sur mes frêles jambes. Je panique et il suffit de me toucher ou de me héler pour que je m’évanouisse simplement. La peur m’a gagné, ma cousine me conseille tout le temps de garder mon sang froid, devant des tueurs froids qui n’hésitent pas non seulement à vous dépouiller de tous vos biens avant de vous tuer. C’est cela qui me fait peur. Je peux leur donner tout ce que j’ai, pourvu qu’ils me laissent en vie. En tout cas je demande à l’Etat du Sénégal de ramener la paix et la quiétude, notre pays vit une situation cruciale avec ces meurtres », alerte la jeune étudiante.
La remède Bineta pour conjurer le mauvais sort des meurtres
En bon talibé tidiane Bineta se rappelle des paroles de soon guide religieux « Vous vous souvenez des propos avant-gardistes du Khalife général des Tidjanes Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy qui avait invité les sénégalais à faire des prières pour conjurer le mauvais sort mais c’est comme si nous avions rien attendu. Il est grand temps qu’on s’y attèle, invite cette étudiante qui à force d’invoquer le meurtre de Mazine Chakiri finit par avoir le trémolo dans la voix. Je suis vraiment attristée par son décès, un étudiant en année de thèse pour qui connaissent les études très longues et difficiles en Médecine, je suis vraiment touchée par son décès tragique », confie cette jeune dame avec un regard qui se fixe dans le vide de l’horizon de cet après-midi à la Gueule-Tapée.
Il faut la loi du Talion : œil pour œil et dent pour dent
« Non, il faut les tuer, ces agresseurs qui tuent sans pitié les gens pour leur détrousser. Ce n’est pas normal. Vous vous imaginez, un honnête citoyen qui se tue à la tâche pour gagner de quoi vivre honnêtement on le tue comme ça, sans rien, avec le geste des mains qui accompagne la parole. Monsieur Camara la concentration gagnée par un jeu sur son smartphone, ce père de famille est pour le retour de la peine de mort qu’on les tue comme ils n’hésitent pas à tuer. Assis avec des amis devant une maison de la Gueule Tapée pour ces domiciles ou la cour donne sur la rue vue l’étroitesse des maisons. Camara et ses amis causent sur le meurtre de l’étudiant marocain mais aussi la dernière nouvelle, l’arrestation de cinq des six agresseurs. Pas seulement, ils parlent aussi des séries de cambriolages de meurtres pour enfin faire le décompte macabre. Non ça n’existait pas dans Dakar. Tout cela, ces agressions, meurtres vols et autres phénomènes de banditismes, ça fait peur. Avant de raconter la mésaventure d’un de ses voisins qui a été agressé par des bandits qui étaient sur scooter », souligne ce père de famille.
La hantise des motos scooters
Sur l’autre ruelle qui mène vers Soumbédioune dans ces petites artères que les voitures et autres motos partagent avec les piétons et l’insouciance des enfants qui s’adonnent à leur jeu favori, le football, nous rencontrons la dame Ngoné, teint noir, habillée en tenue de ville bleue renforcée par une costume pour faire face à la vague de fraicheur du soir dans ce quartier située à quelques mètres de l’océan atlantique. Ngoné a fini de perdre sa quiétude quand elle voit un scooter. Ma hantise maintenant ce sont les scooters. Dés je les vois je m’éloigne très vite et très loin de la chaussée pour ne pas être victime de ces bandits qui s’adonnent au vol à l’arrachée. Cette jeune dame à la forme généreuse qui pulvérise les records de beauté sur un plancher de défilé a peur mais garde son sang-froid. Il faut prier Dieu qu’Il nous préserve de tout ça. Elle invite tout de même l’Etat à durcir les sanctions et à renforcer la sécurité », conclut-elle.
La police veille au grain
Comme le dit un adage que « le voleur a toujours une longueur d’avance sur le gendarme », mais la police veille au grain et suit les traces de ces malfaiteurs et autres bandits qui sèment la terreur.
Des opérations de sécurisation sont effectuées sur le terrain, au niveau du Canal 4 qui mène vers la Corniche Ouest, des policiers en civils comme en tenu mènent une opération d’identification. Tout est passé au peigne fin les taxis, motos, véhicules particulier et autres. Même les passagers sont invités à décliner leur identité.
Des opérations de sécurisation qui donnent des résultats avec l’arrestation d’une dizaine de malfaiteurs dont la bande des agresseurs qui a tué l’étudiant marocain mais aussi de Mansour Diop alias Thialé qui avait évadé de prison en 2015 lors de l’évasion de Boy Djinné. Face à la presse pour revenir sur ces séries d’agressions de braquages ou de vols. Selon cette entité de la police nationale, la sécurité sera mieux renforcée. « Les motos seront soumises à une immatriculation pour plus de sécurité et les patrouilles seront accentuées », déclare le Sergent Henry Boumi Ciss ce mardi.
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