Dans l'analyse des discours, je vois que chacun y va de sa façon. Certains parlent de programmes d'autres de promesses électoraux. Nous y voyons beaucoup de confusions. Dans l'ensemble, chacun affûte ses stratégies pour gagner. On peut donc dire que c'est la course au Parlement. Et l'on a comme impression que tous les moyens sont bons pour remporter la victoire finale.
Il faut dire qu'après une semaine de campagne, force est de constater que les différentes coalitions qui sont en lice pour les législatives ont chacune sa zone de prédilection.
Quel appel lancez-vous aux différents leaders pour que les violences cessent?
Pour ce qui est des violences, il faut les bannir de l'espace politique. Et nous du Forum civil l'avions toujours dénoncé. De tous les bords, les gens doivent arrêter de faire l'apologie de la violence. Ce sont des choses à condamner. Les violences qu'elles soient verbales ou physiques sont à réfuter. Par conséquent, il faut appeler les acteurs politiques à de la sérénité. Le peuple sénégalais est assez mûr pour décider au soir du 17 novembre de qui vont le représenter à l'Assemblée nationale.
Je pense que l'heure est à la préservation de la paix et de la stabilité de notre pays, compte tenu du cercle de feu qui nous entoure. Cette campagne électorale en tous les cas ne doit pas exacerber la violence sous quelque forme qu'elle soit.
A quel type de député peut-on s'attendre pour cette prochaine législature?
Nous nous attendons à avoir un député du peuple et non à un député d'un parti ou d'un Président. Au Sénégal, nous étions habitués à entendre des députés clamer haut et fort devoir leur mandat de parlementaire au président de la République. Nous étions également habitués à voir des députés qui votent des lois les yeux fermés sans tenir compte des préoccupations des populations. Ce sont toutes des pratiques, avec lesquelles il faut rompre.
De plus, nous attendons d'avoir des députés qui feront le plaidoyer des populations auprès du gouvernement. Donc, de ce nouveau type de député, nous voulons des parlementaires qui vont contrôler l'action du gouvernement, faire des propositions de loi qui prennent en compte les préoccupations des populations.
Il y a beaucoup de lois auxquelles les députés doivent s'atteler à faire adopter. Je pense que l'exemple le plus pressant est le droit à l'information. Grosso modo, nous voulons des députés qui viennent à la base s'enquérir de la situation des populations et de les porter à l'Assemblée nationale.
Peut-on s'attendre à des élections transparentes?
Le Sénégal, il faut l'avouer à dépasser cette question d'élections truquées. Je pense qu'il ne va pas se poser de problèmes à ce niveau. Car c'est avec ce fichier que le Pastef a eu 54 % lors de la présidentielle de mars 2024. Donc, le parrainage n'étant pas pris en compte à ces législatives, le seul problème qui peut se poser, c'est la violence verbale et physique.
Il faut dire qu'après une semaine de campagne, force est de constater que les différentes coalitions qui sont en lice pour les législatives ont chacune sa zone de prédilection.
Quel appel lancez-vous aux différents leaders pour que les violences cessent?
Pour ce qui est des violences, il faut les bannir de l'espace politique. Et nous du Forum civil l'avions toujours dénoncé. De tous les bords, les gens doivent arrêter de faire l'apologie de la violence. Ce sont des choses à condamner. Les violences qu'elles soient verbales ou physiques sont à réfuter. Par conséquent, il faut appeler les acteurs politiques à de la sérénité. Le peuple sénégalais est assez mûr pour décider au soir du 17 novembre de qui vont le représenter à l'Assemblée nationale.
Je pense que l'heure est à la préservation de la paix et de la stabilité de notre pays, compte tenu du cercle de feu qui nous entoure. Cette campagne électorale en tous les cas ne doit pas exacerber la violence sous quelque forme qu'elle soit.
A quel type de député peut-on s'attendre pour cette prochaine législature?
Nous nous attendons à avoir un député du peuple et non à un député d'un parti ou d'un Président. Au Sénégal, nous étions habitués à entendre des députés clamer haut et fort devoir leur mandat de parlementaire au président de la République. Nous étions également habitués à voir des députés qui votent des lois les yeux fermés sans tenir compte des préoccupations des populations. Ce sont toutes des pratiques, avec lesquelles il faut rompre.
De plus, nous attendons d'avoir des députés qui feront le plaidoyer des populations auprès du gouvernement. Donc, de ce nouveau type de député, nous voulons des parlementaires qui vont contrôler l'action du gouvernement, faire des propositions de loi qui prennent en compte les préoccupations des populations.
Il y a beaucoup de lois auxquelles les députés doivent s'atteler à faire adopter. Je pense que l'exemple le plus pressant est le droit à l'information. Grosso modo, nous voulons des députés qui viennent à la base s'enquérir de la situation des populations et de les porter à l'Assemblée nationale.
Peut-on s'attendre à des élections transparentes?
Le Sénégal, il faut l'avouer à dépasser cette question d'élections truquées. Je pense qu'il ne va pas se poser de problèmes à ce niveau. Car c'est avec ce fichier que le Pastef a eu 54 % lors de la présidentielle de mars 2024. Donc, le parrainage n'étant pas pris en compte à ces législatives, le seul problème qui peut se poser, c'est la violence verbale et physique.
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