Le candidat du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR) à la présidentielle du 24 mars, Aliou Mamadou Dia, a décliné jeudi, sa vision d’une professionnalisation des “daaras“ (écoles coraniques), à l’échelle nationale, pour “réparer une injustice qui a trop duré“.
Arrivé mercredi peu avant minuit dans la cité religieuse, Aliou Mamadou Dia, accueilli par une foule nombreuse et déchaînée, a promis de “réparer une injustice qui n’a que trop duré“.
“C’est injuste de voir des Sénégalais diplômés des grandes universités arabes en biologie, en mathématiques, en informatique et revenir au pays sans aucune perspective d’insertion“, a-t-il confié à APS.
“Avec moi comme président de la République, cette politique de deux poids deux mesures sera une histoire oubliée, car nous sommes tous des fils du Sénégal“, a-t-il promis.
Le candidat du PUR prône aussi un retour aux valeurs traditionnelles sénégalaises, estimant que la revalorisation de nos cultures est un préalable à l’essor de nôtres pays.
“La politique politicienne ne développera jamais notre pays, estime-t-il, il nous faut une rupture totale pour opérer les réglages nécessaires et conformes aux lignes contenues dans la théorie du changement si chère au PUR“.
Il s’est désolé du “contraste saisissant“ entre la richesse du département de Tivaouane et la pauvreté qui sévit dans cette localité
“Tivaouane avec son gaz, son zircon, ses centrales éolienne et électrique, ses riches terres, sa façade maritime, doit bien profiter du capital humain dont regorge le Sénégal pour construire un vrai développement“, a-t-il lancé.
Pour Aliou Mamadou Dia, “il nous manque un bon leadership pour porter tout ce potentiel“.
Il promet qu’une fois élu président de la république, “le visage de Tivaouane, l’un des départements les plus riches du Sénégal va radicalement changer avec (son programme) Nitte Ak Naatangué“ (l’homme et le développement, en langue wolof).
Il a saisi l’occasion pour rendre un vibrant hommage à Seydi Elhadji Malick Sy, grand-père de l’inspirateur du PUR, Serigne Moustapha Sy.
Arrivé mercredi peu avant minuit dans la cité religieuse, Aliou Mamadou Dia, accueilli par une foule nombreuse et déchaînée, a promis de “réparer une injustice qui n’a que trop duré“.
“C’est injuste de voir des Sénégalais diplômés des grandes universités arabes en biologie, en mathématiques, en informatique et revenir au pays sans aucune perspective d’insertion“, a-t-il confié à APS.
“Avec moi comme président de la République, cette politique de deux poids deux mesures sera une histoire oubliée, car nous sommes tous des fils du Sénégal“, a-t-il promis.
Le candidat du PUR prône aussi un retour aux valeurs traditionnelles sénégalaises, estimant que la revalorisation de nos cultures est un préalable à l’essor de nôtres pays.
“La politique politicienne ne développera jamais notre pays, estime-t-il, il nous faut une rupture totale pour opérer les réglages nécessaires et conformes aux lignes contenues dans la théorie du changement si chère au PUR“.
Il s’est désolé du “contraste saisissant“ entre la richesse du département de Tivaouane et la pauvreté qui sévit dans cette localité
“Tivaouane avec son gaz, son zircon, ses centrales éolienne et électrique, ses riches terres, sa façade maritime, doit bien profiter du capital humain dont regorge le Sénégal pour construire un vrai développement“, a-t-il lancé.
Pour Aliou Mamadou Dia, “il nous manque un bon leadership pour porter tout ce potentiel“.
Il promet qu’une fois élu président de la république, “le visage de Tivaouane, l’un des départements les plus riches du Sénégal va radicalement changer avec (son programme) Nitte Ak Naatangué“ (l’homme et le développement, en langue wolof).
Il a saisi l’occasion pour rendre un vibrant hommage à Seydi Elhadji Malick Sy, grand-père de l’inspirateur du PUR, Serigne Moustapha Sy.
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24