Face au défi du changement climatique, l’industrie alimentaire cherche des solutions d’adaptation économes en ressources. Et pour ce faire, le Bureau de mise à niveau en partenariat avec l’ONUDI (Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel), a procédé vendredi à un atelier de restitution et de partage des résultats du projet sous le thème « Développement industriel et faible Emission de carbone et résiliant aux changements climatiques ».
"Ce projet consiste à accompagner les entreprises, notamment les PME (Petites et Moyenne Entreprises ) PMI (Petites et Moyennes Industries) africaines, à s’adapter à l’impact du changement climatique. Nous avons fait une étude dans 4 pays que sont : L’Egypte, le Kenya l’Afrique du Sud et le Sénégal. Et le coût global est de 2 milliards de dollars", explique le chef de division de l'ONUDI, monsieur Ismaïl Alil Hadi.
Cette étude a permis de déceler les besoins des secteurs sénégalais de la transformation des fruits et des céréales locales qui dépendent des productions agricoles et qui sont largement exposés aux effets des changements climatiques, et ce, à travers toute leur chaîne de valeur. " Parmi les menaces qui pèsent sur les installations industrielles, et en particulier sur les processus de récolte et de séchage, figurent les sécheresses, mais aussi paradoxalement, les crues éclairs provoquées certains mois par des précipitations inhabituelles et irrégulières sous la forme des fortes averses résultants des changements climatiques. Il y'a aussi l’augmentation des températures sur tout dans les zones littorales ainsi que les phénomènes d’élévation du niveau de mer, de salinisation et de l’érosion côtières", ajoute l'expert.
Ibrahima Diouf , le directeur du Bureau de Mise a Niveau (BMN) se dit heureux que le Sénégal soit le seul pays d’Afrique francophone bénéficiant du projet test. Surtout que ce programme aide les pays a réduire les gaz à effet de serre qui contribuent largement au réchauffement climatique. Et ce qu’il faut surtout retenir, selon le directeur du BMN, "est que l’économie sénégalaise dans sa globalité, qui est largement diminuée par les secteurs primaires agriculture, élevage et pèche, est une une économie très vulnérable au changement climatique."
"Ce projet consiste à accompagner les entreprises, notamment les PME (Petites et Moyenne Entreprises ) PMI (Petites et Moyennes Industries) africaines, à s’adapter à l’impact du changement climatique. Nous avons fait une étude dans 4 pays que sont : L’Egypte, le Kenya l’Afrique du Sud et le Sénégal. Et le coût global est de 2 milliards de dollars", explique le chef de division de l'ONUDI, monsieur Ismaïl Alil Hadi.
Cette étude a permis de déceler les besoins des secteurs sénégalais de la transformation des fruits et des céréales locales qui dépendent des productions agricoles et qui sont largement exposés aux effets des changements climatiques, et ce, à travers toute leur chaîne de valeur. " Parmi les menaces qui pèsent sur les installations industrielles, et en particulier sur les processus de récolte et de séchage, figurent les sécheresses, mais aussi paradoxalement, les crues éclairs provoquées certains mois par des précipitations inhabituelles et irrégulières sous la forme des fortes averses résultants des changements climatiques. Il y'a aussi l’augmentation des températures sur tout dans les zones littorales ainsi que les phénomènes d’élévation du niveau de mer, de salinisation et de l’érosion côtières", ajoute l'expert.
Ibrahima Diouf , le directeur du Bureau de Mise a Niveau (BMN) se dit heureux que le Sénégal soit le seul pays d’Afrique francophone bénéficiant du projet test. Surtout que ce programme aide les pays a réduire les gaz à effet de serre qui contribuent largement au réchauffement climatique. Et ce qu’il faut surtout retenir, selon le directeur du BMN, "est que l’économie sénégalaise dans sa globalité, qui est largement diminuée par les secteurs primaires agriculture, élevage et pèche, est une une économie très vulnérable au changement climatique."
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