Le syndicat des professionnels de l'information et de la communication du Sénégal (SYNPICS) Section SENEGO est vent debout contre la direction de l'entreprise de presse. Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, l'organisme de défense des droits des journalistes et techniciens des médias a tenu à exprimer "son indignation face au licenciement de BaÏdy Ndao". Ce dernier officie entant qu'opérateur de caméra et membre actif du syndicat. Ces camarades du même média qualifient son licenciement d'abusif.
"Monsieur NDAO a été licencié de manière irrégulière et injustifiée par son employeur, Monsieur Sidy Mbacké, Président Directeur Général de SENEGO MEDIA, le 19 juillet 2024, sous prétexte d’une panne de caméra. Ce licenciement a été annoncé par un simple message audio WhatsApp, suivi d'une confirmation le 22 juillet 2024, sans aucun préavis écrit, en totale violation des procédures légales", a fustigé le Synpics section Senego. En sus, l'organisme de défense des journalistes et techniciens des médias trouve le motive de licenciement du sieur Ndao trop léger. "Il est à souligner que la caméra en question a été réparée entre-temps, remettant ainsi en cause la justification initiale de ce licenciement. De plus, notre camarade a reçu un salaire incomplet pour le mois en cours, avec une déduction injustifiée de huit jours", a fait remarqué les syndicalistes dans leur communiqué.
Sur cette base, le Synpics exige que " l'entreprise SENEGO MEDIA respecte les droits de ses employés et se conforme aux lois en vigueur. Nous appelons les autorités compétentes, notamment l'Inspection du Travail, à intervenir rapidement pour rectifier cette injustice".
Ainsi, le Synpics promet un soutien sans faille à Baidy Ndao dans son combat pour obtenir justice et faire valoir ses droits.
"Monsieur NDAO a été licencié de manière irrégulière et injustifiée par son employeur, Monsieur Sidy Mbacké, Président Directeur Général de SENEGO MEDIA, le 19 juillet 2024, sous prétexte d’une panne de caméra. Ce licenciement a été annoncé par un simple message audio WhatsApp, suivi d'une confirmation le 22 juillet 2024, sans aucun préavis écrit, en totale violation des procédures légales", a fustigé le Synpics section Senego. En sus, l'organisme de défense des journalistes et techniciens des médias trouve le motive de licenciement du sieur Ndao trop léger. "Il est à souligner que la caméra en question a été réparée entre-temps, remettant ainsi en cause la justification initiale de ce licenciement. De plus, notre camarade a reçu un salaire incomplet pour le mois en cours, avec une déduction injustifiée de huit jours", a fait remarqué les syndicalistes dans leur communiqué.
Sur cette base, le Synpics exige que " l'entreprise SENEGO MEDIA respecte les droits de ses employés et se conforme aux lois en vigueur. Nous appelons les autorités compétentes, notamment l'Inspection du Travail, à intervenir rapidement pour rectifier cette injustice".
Ainsi, le Synpics promet un soutien sans faille à Baidy Ndao dans son combat pour obtenir justice et faire valoir ses droits.
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