« Nous ne cherchons pas à connaitre les raisons de ce blocus ou à dire qui a tort et qui a raison. Le constat est que des personnes innocentes souffrent du blocus et la solution ne peut venir que des autorités », a indiqué l’imam ratib de Bignona.
El Hadji Ousmane Fansou Bodian a souligné que : «Les deux chefs d’Etat doivent engager un dialogue sur la question ». Le guide religieux, au cours de la cérémonie officielle du Gamou annuel qu’il organise à Bignona et qui en est à sa 26e édition, a indiqué, « sous une grande tente, il y a plusieurs Gambiens et Sénégalais parlant les mêmes langues et pratiquant la même religion. Qui peut différencier le Sénégalais du Gambien ? Personne. Il faut que les deux chefs d’Etat s’investissent pour un retour à la normale entre les deux pays».
Devant la délégation Gambienne et des officiels Sénégalais représentés par le chef de cabinet du président de la République, Abdoulaye Badji, l’imam Fansou a appelé ses deux vœux pour éviter « l’installation d’une crise durable ». Avant de rappelé que : « La crise Casamançaise avait débuté exactement de la même façon. Tout le monde avait laissé faire jusqu’à ce quelle prît des proportions inquiétantes. Il urge de solutionner ces difficultés au niveau de la trans-gambienne avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il insisté, livre « Libération ».
El Hadji Ousmane Fansou Bodian a souligné que : «Les deux chefs d’Etat doivent engager un dialogue sur la question ». Le guide religieux, au cours de la cérémonie officielle du Gamou annuel qu’il organise à Bignona et qui en est à sa 26e édition, a indiqué, « sous une grande tente, il y a plusieurs Gambiens et Sénégalais parlant les mêmes langues et pratiquant la même religion. Qui peut différencier le Sénégalais du Gambien ? Personne. Il faut que les deux chefs d’Etat s’investissent pour un retour à la normale entre les deux pays».
Devant la délégation Gambienne et des officiels Sénégalais représentés par le chef de cabinet du président de la République, Abdoulaye Badji, l’imam Fansou a appelé ses deux vœux pour éviter « l’installation d’une crise durable ». Avant de rappelé que : « La crise Casamançaise avait débuté exactement de la même façon. Tout le monde avait laissé faire jusqu’à ce quelle prît des proportions inquiétantes. Il urge de solutionner ces difficultés au niveau de la trans-gambienne avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il insisté, livre « Libération ».
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